La démission sous pression du chancelier du diocèse de Toulouse, condamné pour viol en 2006, a relancé un débat sensible : quelle place les prêtres condamnés pour violences sexuelles peuvent-ils occuper dans l’Église ? Cette question n’a pas encore été véritablement travaillée par l’institution, qui navigue entre pratiques héritées et gestion de crise.
La démission sous pression du chancelier du diocèse de Toulouse, condamné pour viol en 2006, a relancé un débat sensible : quelle place les prêtres condamnés pour violences sexuelles peuvent-ils occuper dans l’Église ? Cette question n’a pas encore été véritablement travaillée par l’institution, qui navigue entre pratiques héritées et gestion de crise.