Le vote du 27 novembre sur la nationalisation d’ArcelorMittal France marque un tournant symbolique et controversé de la politique industrielle française. Présentée par LFI, l’opération, estimée à 3–4 milliards d’euros, soulève de vives critiques économiques. Ses défenseurs invoquent un argument stratégique. Mais ses détracteurs y voient une mesure idéologique, déconnectée du marché mondial et des réalités structurelles du secteur sidérurgique.
Le vote du 27 novembre sur la nationalisation d’ArcelorMittal France marque un tournant symbolique et controversé de la politique industrielle française. Présentée par LFI, l’opération, estimée à 3–4 milliards d’euros, soulève de vives critiques économiques. Ses défenseurs invoquent un argument stratégique. Mais ses détracteurs y voient une mesure idéologique, déconnectée du marché mondial et des réalités structurelles du secteur sidérurgique.