Le meurtre d'Aboubakar Cissé, poignardé 50 fois dans une mosquée, révèle un climat islamophobe nourri par des discours politiques. Face à ce drame, la réaction timorée des autorités interroge sur leur part de responsabilité.
Le meurtre d'Aboubakar Cissé, poignardé 50 fois dans une mosquée, révèle un climat islamophobe nourri par des discours politiques. Face à ce drame, la réaction timorée des autorités interroge sur leur part de responsabilité.