Sous la pression des Etats-Unis, la Commission européenne est prête à assouplir sa législation pour stopper son décrochage technologique. Mais Bruxelles ne doit pas se laisser enfermer dans un choix binaire entre innovation et réglementation, et devrait plutôt faire valoir ses atouts, estime Stéphane Lauer, éditorialiste au « Monde ».
Sous la pression des Etats-Unis, la Commission européenne est prête à assouplir sa législation pour stopper son décrochage technologique. Mais Bruxelles ne doit pas se laisser enfermer dans un choix binaire entre innovation et réglementation, et devrait plutôt faire valoir ses atouts, estime Stéphane Lauer, éditorialiste au « Monde ».