Contrairement à ce que prônent l’administration Trump ou Elon Musk, le patron de la première banque américaine, Jamie Dimon, a plaidé samedi pour une Europe forte. Un avis quasi subversif aux Etats-Unis, constate Isabelle Chaperon, chroniqueuse au service Economie du « Monde ».
Contrairement à ce que prônent l’administration Trump ou Elon Musk, le patron de la première banque américaine, Jamie Dimon, a plaidé samedi pour une Europe forte. Un avis quasi subversif aux Etats-Unis, constate Isabelle Chaperon, chroniqueuse au service Economie du « Monde ».