Le milliardaire, figure de la tech américaine, fustige un ordre global qui pétrifie le progrès. Mais, selon la chercheuse, lui et d’autres acteurs de la Silicon Valley y substituent un totalitarisme technologique auquel l’Europe ne doit pas adhérer.
Le milliardaire, figure de la tech américaine, fustige un ordre global qui pétrifie le progrès. Mais, selon la chercheuse, lui et d’autres acteurs de la Silicon Valley y substituent un totalitarisme technologique auquel l’Europe ne doit pas adhérer.