Le trait absurde et la douce anarchie du dessinateur, cheville ouvrière de «Hara-Kiri» et «Charlie Hebdo», sont au cœur d’une rétrospective parisienne, nourrie par les archives de la Bibliothèque nationale de France.
Le trait absurde et la douce anarchie du dessinateur, cheville ouvrière de «Hara-Kiri» et «Charlie Hebdo», sont au cœur d’une rétrospective parisienne, nourrie par les archives de la Bibliothèque nationale de France.