La proposition de loi votée ce vendredi 2 mai dans l’hémicycle permettrait aux malades souffrant d’une «affection grave et incurable» qui «engage le pronostic vital, en phase avancée ou terminale» de recevoir ou s’administrer une substance létale.
La proposition de loi votée ce vendredi 2 mai dans l’hémicycle permettrait aux malades souffrant d’une «affection grave et incurable» qui «engage le pronostic vital, en phase avancée ou terminale» de recevoir ou s’administrer une substance létale.