On s’interroge, à raison, sur le silence des rappeurs marseillais face au narcotrafic. Mais on s’interroge beaucoup moins sur ces autres figures de la ville, qui ne sont ni du rap, ni des quartiers. Leur silence est pourtant tout aussi éloquent.
Depuis le meurtre de son frère Mehdi, le militant marseillais ne cesse d’alerter sur les ravages du trafic dans sa ville. Emmanuel Macron, sur place ce mardi 16 décembre, est attendu sur son bilan, en l’état bien fragile.