Environ 200 personnes se sont réunies aux Champs-Elysées pour allumer la première bougie de la «fête des lumières» juive. Entourées par un sérieux dispositif policier, les personnes rassemblées ont réaffirmé leur volonté d’être ensemble malgré l’effroi que suscite l’attentat commis à Sydney.

Depuis l’annonce du départ prochain de 2 000 salariés de la BNP installés dans ce secteur du nord-est parisien miné par les usagers de crack, les habitants redoutent une spirale négative. Et appellent les pouvoirs publics à un sursaut.

Du jeune garçon rasé dans un foyer de l’aide sociale à l’enfance aux affaires de violences dans le périscolaire, les défaillances du système de protection s’accumulent. Fondateur de l’association Mouv’Enfants, Arnaud Gallais appelle à une refonte en profondeur des dispositifs de suivi.

Célébré en public depuis les années 70 dans la plupart des grandes villes occidentales, l’événement commémore une victoire importante du judaïsme et consiste en l’allumage durant huit jours des bougies d’un chandelier.

L’établissement dijonnais a été frappé dans la nuit du vendredi au samedi 13 décembre par un sinistre qui occasionnera plusieurs mois de fermeture pour travaux, selon le président du conseil départemental de la Côte-d’Or.

Le ministre du Logement a mis en garde samedi contre la possible suspension des aides à la rénovation énergétique, alors que le projet de loi de finances a peu de chances d’être adopté avant le 31 décembre.

Pour le quatrième et dernier épisode de notre série sur les routes du narcotrafic, «Libération» s’est rendu au cœur des Hautes-Alpes, où une équipe pluridisciplinaire accompagne des consommateurs de drogues. Ici on sait que sans un travail sur les causes de l’addiction, la bataille ne peut être gagnée.

Les quatre hommes, affectés à Domont et Pontoise, sont poursuivis dans le cadre d’une affaire de corruption. Le procureur a évoqué «au moins 160 000 euros de flux financiers».

Une vaste opération de police a été menée, mercredi 10 décembre, dans toute la France. Elle a permis l’interpellation d’une vingtaine de personnes soupçonnées d’avoir acheté des poupées sexuelles à caractère pédopornographique.

Une centaine de collègues de Jean-Michel Gal, tué en consultation au début du mois, ont organisé une marche blanche vendredi 12 décembre pour dénoncer la précarité des structures de psychiatrie sur l’île. A «Libé», sa veuve confie qu’il avait alerté sa tutelle de la nécessité de sécuriser les locaux.

Malgré l’interdiction de la vente du gaz hilarant aux mineurs, de plus en plus de marques commercialisent des éditions limitées et parfumées. Une pratique visant à séduire les plus jeunes.

Les autorités locales ont lancé mardi 9 décembre une campagne de communication sur les mules, ces passagers transportant de la drogue en provenance de la métropole. Ces dernières années, l’importation de cocaïne a explosé sur l’île, avec 60 % de quantités interceptées en plus en 2024.

L’expérimentation, qui concerne les régions Ile-de-France, Hauts-de-France et Pays de la Loire, s’étendra sur trois ans et doit permettre in fine d’utiliser les résultats pour déposer plainte.

Mickaël Ettori, figure du grand banditisme corse, a été arrêté samedi 13 décembre à Olmeto Plage (Corse-du-Sud) par le GIGN après cinq ans de cavale, a annoncé le parquet d’Ajaccio. Il venait d’être condamné à 15 ans de prison.

Près de 2 500 personnes sont attendues ce samedi dans la cathédrale pour assister à un office donné en l’honneur des membres de la Mission Saint-Paul, morts entre 1944 et 1945 «en haine de la foi».

En cinq secondes, l’image lisse de Brigitte Macron, vitrine «progressiste» du couple présidentiel, patiemment construite autour de la promotion en «grande cause du quinquennat» des violences faites aux femmes, a volé en éclats. Beau travail.

«Libération» a suivi dans le Cantal l’Office français de la biodiversité, chargé de faire respecter les consignes de sécurité à la chasse. Ces contrôles s’inscrivent dans une campagne nationale visant à prévenir des accidents encore trop fréquents.

Pour le troisième épisode de notre série sur les routes du narcotrafic, «Libération» s’est rendu à Anduze dans les Cévennes. Dans ce village aux bâtisses en pierre, le trafic se fait plus discret, sur les chemins de vigne, mais la tentaculaire DZ mafia n’est pas très loin.

Jugé à Paris pour complicité des crimes contre l’humanité commis par ses soldats, dont il fut «l’une des têtes pensantes» il y a près d’un quart de siècle en RDC, l’ancien rebelle de 67 ans avait refusé de comparaître lors de son procès.

Le ministère public a requis la réclusion criminelle à perpétuité contre l’accusé de 53 ans, un «tueur en série» coupable à ses yeux de 30 empoisonnements, dont 12 mortels. Le verdict est attendu en fin de semaine prochaine.