L’enfant de 11 ans avait échappé à la surveillance des encadrants. C’est le troisième enfant autiste à perdre la vie lors d’une baignade en France en une semaine.

Alors que les pratiques en ligne des pédocriminels se radicalisent, des psychiatres n’hésitent pas à parler d’addiction. Certains regrettent le manque de prévention sur le sujet et estiment que des hommes à risque pourraient être repérés plus tôt ou accompagnés.

La commande et le visionnage en direct de violences sexuelles sur des mineurs dans des pays en développement sont en plein essor. Face à la radicalisation des pratiques, la justice française entend désormais faire des instigateurs des complices de viol.

Rémunérés pour accompagner des personnes âgées ou handicapées en perte d’autonomie, ces accueillants ne sont pas reconnus comme des travailleurs. Alors que leur nombre est en baisse depuis une dizaine d’années, ils souhaitent une redéfinition de leur statut.

Cette école atypique installée depuis 2019 dans la friche la Belle-de-Mai s’efforce de reconnecter des décrocheurs de la vie et des études. Mais ses financements pourraient s’arrêter, mettant en péril son avenir.

La promotion au rang de chancelier par l’évêque de Toulouse de l’homme d’église, condamné en 2006, a été annulée samedi 16 août.

Mercredi, quatre corps ont été retrouvés repêchés dans le Val-de-Marne après l’alerte d’un passager du RER C. Pour deux d’entre eux au moins, la piste d’un homicide est privilégiée, annonce le parquet ce samedi 16 août.

La victime, venue de Bobigny, participait avec son frère et 33 autres enfants à une sortie dans une plaine de jeux de Moulins.

Les vagues de chaleur affectent les travailleurs et la croissance pourrait s’en ressentir. Selon une étude, une journée à plus de 32 °C équivaudrait à une demi-journée de grève pour l’économie française.

La plage des Hauts-de-France s’est vu décerner le niveau le plus élevé d’un label récompensant les efforts d’accessibilité. Rampes d’accès, fauteuils adaptés, espace réservé… «Libération» est allé sur place.

Alors que l’avenir de l’Ukraine se joue aux Etats-Unis et que les va-t-en-guerre donnent de la voix, il devient de plus en plus difficile de faire entendre des discours de paix.

Plusieurs habitants de la ville d’Epinay-sur-Seine sont venus se recueillir ce vendredi 15 août dans le jardin de la ville où avait été planté un arbre en hommage au jeune homme juif tué en 2006. Une enquête a été ouverte à la suite de la dégradation.

Pour Benjamin Chaudesaigues, professeur de lettres dans un collège REP des Hauts-de-Seine, ce bouleversement technologique offre l’occasion de raviver une relation amoureuse à la langue et la littérature.

Dans un avis rendu public le 13 août, une composante des Nations unies critique sévèrement les bases légales de l’emprisonnement de Tayeb Benabderrahmane par l’émirat, évoquant également «des actes de torture». Une victoire pour le lobbyiste, en guerre ouverte avec le président du club de foot depuis sa libération.

A l’heure où se multiplient des échos guerriers à travers l’Europe, et que le vocabulaire martial a repris du galon, «Libé» est allé sonder des militants pour la paix plus de cinquante ans après leurs mobilisations. Ceux qui se sont battus pour le Vietnam et le Larzac et jouaient du Bob Dylan dans les soirées ont aujourd’hui perdu de leur «naïveté».

Cet arbre avait été planté en 2011 à Epinay-sur-Seine, cinq ans après la mort de ce jeune homme de confession juive, séquestré et torturé par «le gang des barbares». Son abattage suscite ce vendredi 15 août de nombreuses réactions. Une enquête est ouverte.

Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a adressé ses pensées aux «fidèles heurtés par cet acte antimusulman d’une grande lâcheté». Les actes islamophobes sont en forte hausse en 2025.