Une fuite devant des massacres, la façon dont l’Histoire ­colore un comportement maternel, une formule d’Antonin Artaud et le travail salutaire «des récits, des imaginaires et des narrations culturelles».

Le député des Bouches-du-Rhône était dans la tourmente pour s’être rendu ces derniers jours en Algérie et avoir donné des interviews sans y évoquer la situation de Christophe Gleizes et l’écrivain Boualem Sansal.

Le procureur a requis des peines d’amende à l’encontre de l’entrepreneur, mais aussi, pour la première fois, de la structure en charge du diagnostic préalable au chantier. La chouette chevêche est une espèce protégée, qui se porte mal.

Les journalistes reprochent à Ronan Dubois, nommé en 2023, un gel des recrutements, le non-remplacement des arrêts maladie ainsi que deux licenciements récents jugés injustifiés. Des propos «inadéquats et possiblement discriminants» sont aussi pointés du doigt.

Le mouvement social, déclenché par deux syndicats minoritaires qui réclament l’amélioration des conditions de travail des aiguilleurs du ciel et des effectifs plus importants, courait jusqu’à ce vendredi soir.

La préfecture a justifié l’intervention par le danger encouru ce jour-là par les candidats à l’asile au Royaume-Uni.

Très proche de la surpuissante UFC, la principale fédération d’arts martiaux mixtes, le président américain envisage d’organiser l’événement à l’occasion des festivités du 4 juillet 2026.

Dans le Pas-de-Calais, la préfecture justifie ces restrictions par un déficit record des précipitations dans la région Hauts-de-France ces derniers mois, entraînant des «sols désormais plus secs que la normale de l’ordre de -30 à -60 %».

L’actualité vue par notre dessinatrice.

Un siècle et un milliard d’euros plus tard, le fleuve parisien s’ouvre à nouveau à la baignade. Un retour aux sources qui symbolise tant la persévérance écologique d’Anne Hidalgo que la métamorphose d’un cours d’eau jadis synonyme de labeur ouvrier.

Dès ce samedi 5 juillet, trois sites sont ouverts dans la Seine, à Paris, grâce à trente ans d’amélioration du réseau d’assainissement, donc de la propreté du fleuve. Mais la qualité de l’eau reste insuffisante pour s’y tremper à tout moment, et les autres villes françaises embrayent timidement.