A l'approche de la présidentielle de 2012, dans l'espoir d'être reconduit à l'Élysée, Nicolas Sarkozy entreprend de mieux contrôler la presse. Pour éviter que Le Monde, alors en difficulté, ne soit racheté par Xavier Niel, Pierre Bergé et Mathieu Pigasse, Il tente de faire tomber l'influent quotidien dans l'escarcelle d'actionnaires plus favorables. A la manoeuvre : son conseiller Alain Minc et un jeune banquier de Rothschild & co avançant masqué : Emmanuel Macron.
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