Depuis quelques années, les militant·es antifascistes partent à la conquête des réseaux sociaux, où l’extrême droite a prospéré pendant des années, et les utilisent pour s’organiser, communiquer et résister.
Depuis quelques années, les militant·es antifascistes partent à la conquête des réseaux sociaux, où l’extrême droite a prospéré pendant des années, et les utilisent pour s’organiser, communiquer et résister.