Après les fusillades qui ont éclaté dans le quartier Villejean-Kennedy, le 17 avril, le président de l’association Rennes Commune, Ulysse Rabaté, dénonce la stigmatisation dont ont été victimes les familles populaires dans le discours du gouvernement, alors qu’elles sont aussi mobilisées sur le terrain contre les violences.
Après les fusillades qui ont éclaté dans le quartier Villejean-Kennedy, le 17 avril, le président de l’association Rennes Commune, Ulysse Rabaté, dénonce la stigmatisation dont ont été victimes les familles populaires dans le discours du gouvernement, alors qu’elles sont aussi mobilisées sur le terrain contre les violences.