Si les otages sont libérés, Israël peut espérer sortir d’une pathologie collective qui vient de loin. Mais le racisme est si profondément ancré et la haine des Palestiniens si répandue qu’il faudra du temps et une autre gauche.
Si les otages sont libérés, Israël peut espérer sortir d’une pathologie collective qui vient de loin. Mais le racisme est si profondément ancré et la haine des Palestiniens si répandue qu’il faudra du temps et une autre gauche.