Malgré l’intervention rapide de 600 sapeurs-pompiers et d’une dizaine d’aéronefs dont quatre bombardiers d’eau Canadair, le feu « progresse », a averti lundi soir la directrice de cabinet du préfet.

Le président américain a ouvert les hostilités en appelant les autorités du Brésil à « laisser tranquille » l’ex-président brésilien (2019-2022), jugé pour tentative présumée de coup d’Etat. « Nous n’acceptons pas d’interférence ou de tutelle de qui que ce soit », a rétorqué son homologue brésilien.

Le président américain a par ailleurs promis, lundi, à plusieurs pays, dont le Japon et la Corée du Sud, une surtaxe d’au moins 25 % sur leurs produits entrant aux Etats-Unis.

Un vote, lundi à l’Assemblée nationale, a permis de déclasser ce bien culturel, volé par la France il y a plus d’un siècle et officiellement réclamé par Abidjan depuis six ans.

Le Belge Tim Merlier a remporté la 3e étape, lundi, entre Valenciennes et Dunkerque. Le Néerlandais Mathieu Van der Poel conserve le maillot jaune.

Le président français est attendu mardi au Royaume-Uni, où ils rencontrera la famille royale et le premier ministre, Keir Starmer. Ce déplacement constitue la première visite d’Etat d’un dirigeant de l’Union européenne depuis la crise de 2020.

En grande difficulté dans le premier set face à l’Australien Alex de Minaur, 11e mondial, le Serbe de 38 ans s’est rebiffé pour s’imposer en quatre manches (1-6, 6-4, 6-4, 6-4). Il affrontera l’Italien Flavio Cobolli au tour suivant, mercredi.

Environ 450 000 places de concert ont été vendues dont 350 000 en Croatie, dans un pays qui compte 3,8 millions d’habitants. Marko Perkovic, connu sous le nom de scène de Thompson, a interdiction de se produire dans plusieurs pays.

Pour ce qui demande un changement législatif, le chef de l’Etat a souhaité un texte de loi « pour la fin de l’été » et « qui soit applicable en fin d’année ». Il a également annoncé qu’il recevrait « à l’automne » les représentants du Forum de l’islam de France (Forif).

Plus de 3 millions d’articles sont publiés chaque année dans les revues scientifiques, les chercheurs étant incités à les multiplier pour se distinguer. Une logique économique perverse s’est installée, qui profite d’abord aux grands éditeurs et encourage les fraudes les plus inattendues. Des propositions alternatives émergent pour sauver le partage des connaissances.