Le ministère des affaires étrangères a réagi jeudi à la condamnation des deux derniers otages français détenus en Iran, à vingt ans et à dix-sept ans de prison, notamment pour espionnage. Les familles des otages alertent sur leur « épuisement ».
Le ministère des affaires étrangères a réagi jeudi à la condamnation des deux derniers otages français détenus en Iran, à vingt ans et à dix-sept ans de prison, notamment pour espionnage. Les familles des otages alertent sur leur « épuisement ».