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26.10.2025 à 02:01

F1: Norris tape du poing sur la table en qualifications à Mexico

FRANCE24
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Alors que le Britannique partira en tête pour la 14e fois de sa carrière, la cinquième cette saison, le quadruple tenant en titre néerlandais et le leader australien du championnat du monde démarreront respectivement cinquième et septième sur la grille. Déjà très à l'aise lors des essais libres samedi midi, Norris a fait parler la supériorité de sa monoplace orange pour réaliser un tour presque parfait et devancer les deux Ferrari du Monégasque Charles Leclerc et du Britannique Lewis Hamilton d'environ trois dixièmes de seconde. "C'était un tour incroyable, j'ai vraiment beaucoup poussé sur les freins et pourtant j'avais le sentiment de ne pas avoir pris la bonne trajectoire parfois. Et finalement c'était super. Je me suis rarement senti aussi bien dans la voiture cette saison", a savouré l'Anglais. Norris, deuxième du championnat avec 14 longueurs de retard sur Piastri et 26 d'avance sur Verstappen, dispose d'une occasion en or de se rapprocher de son coéquipier, qui a manqué ses qualifications, voire le dépasser. Piastri en difficulté L'Australien, battu par son voisin de garage lors des quatre derniers week-ends, n'a jamais trouvé son rythme et a par exemple assuré sa place en Q3 pour seulement 80 millièmes de seconde. "Le manque de performance est un peu un mystère (...) Etre aussi loin quand tu as l'impression d'avoir fait un travail correct, c'est une situation difficile", a déploré le natif de Melbourne. Seulement huitième des qualifications, Piastri partira toutefois septième en raison de la pénalité de cinq places infligée à l'Espagnol Carlos Sainz (Williams) pour avoir percuté l'Italien Andrea Kimi Antonelli (Mercedes) lors du GP des Etats-Unis dimanche dernier. Le Madrilène sera 12e sur la grille malgré son septième chrono samedi. Verstappen, très à l'aise vendredi et vainqueur de cinq des neuf GP qu'il a disputés sur l'Autodromo Hermanos Rodriguez, n'a pas réussi à briller lors des qualifications et s'est montré pessimiste pour la course de dimanche. "Je n'ai pas de rythme, donc peu importe ce que je fais au premier virage. Même si je gagne deux places, ils me reprendront pendant la course... Si une opportunité se présente, il faut la saisir. Mais ce qui m'inquiète le plus, c'est simplement notre rythme pur. Il n'a pas été bon ce week-end", a estimé, fataliste, "Mad Max". Ferrari en embuscade Ferrari, en revanche, pouvait avoir le sourire après les inattendues deuxième et troisième places de Charles Leclerc et du septuple champion du monde Lewis Hamilton. Si le Monégasque partira en première ligne pour la cinquième fois de la saison (dont une fois en pole), le Britannique a réalisé son meilleur résultat de l'année en qualifications. "C'est la première fois qu'on est tous les deux dans le Top 3 et l'équipe le mérite car on a travaillé très dur pour tirer le maximum de la voiture. Partir troisième c'est quasiment la meilleure place sur ce circuit donc je vais essayer d'en profiter. Notre rythme en course a l'air bon donc on va tenter de faire une bonne course", a déclaré l'Anglais. Côté français, les qualifications se sont plutôt bien passées. Isack Hadjar (Racing Bulls) a réalisé le neuvième chrono et s'élancera huitième. Le Parisien de 21 ans, pressenti pour devenir le coéquipier de Verstappen la saison prochaine, s'est même permis le luxe de réaliser le meilleur temps de la Q1, une première pour le rookie tricolore. Douzième temps, Esteban Ocon (Haas) sera onzième sur la grille, sa meilleure position de départ lors des onze dernières courses, à égalité avec la Belgique fin juillet. Enfin, il n'y a pas eu de miracle pour Pierre Gasly, seulement 18e au volant d'une monoplace Alpine toujours aussi peu performante, à l'image de la 20e et dernière place de l'Argentin Franco Colapinto.

25.10.2025 à 23:35

Premier tour de la présidentielle ivoirienne: vote dans le calme, incidents sporadiques

Fatimata WANE
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En Côte d'Ivoire, le dépouillement a commencé après le premier tour de la présidentielle. Un vote calme sans grand enthousiasme avec des incidents sporadiques signalés. 
Texte intégral (669 mots)
En Côte d'Ivoire, le dépouillement a commencé après le premier tour de la présidentielle. Un vote calme sans grand enthousiasme avec des incidents sporadiques signalés. 

25.10.2025 à 23:25

Ligue 1: l'OM, surpris à Lens (2-1), perd la tête

FRANCE24
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Cette défaite fait descendre Marseille au troisième rang (18 points), au profit du Paris Saint-Germain, qui récupère la première place (20 pts) grâce à son net succès, dans l'après-midi à Brest (3-0), juste devant les Lensois, désormais deuxièmes (19 pts). Plus rien n'arrête les Sang et Or, qui, depuis leur succès fondateur lors du derby du Nord (3-0), ont remporté trois rencontres et concédé un match nul à Rennes, en évoluant quasiment toute la rencontre en infériorité numérique, en quatre matches. À l'inverse, Marseille connaît un coup d'arrêt après une première défaite mercredi à Lisbonne contre le Sporting (2-1). Cette fois, les joueurs de Roberto De Zerbi ont manqué d'imagination à Bollaert, bien contenus par le bloc lensois, et n'ont pas pu être sauvés par les inspirations d'Igor Paixao, soliste génial ces dernières semaines, plus discret et maladroit samedi soir. L'autre détonateur habituel des Olympiens, Mason Greenwood, a lui réussi à mettre son équipe sur la bonne voie en ouvrant le score d'une reprise limpide à l'entrée de la surface de réparation lensoise (17e), bien servi par Timothy Weah. L'Anglais est revenu à hauteur de Joaquin Panichelli en tête du classement des meilleurs buteurs du championnat (sept buts), une semaine après son quadruplé contre Le Havre. Le cauchemar de Pavard Mais son équipe a connu une toute autre soirée cette fois, qui a commencé après vingt minutes de jeu, quand Benjamin Pavard, formé chez le rival honni, le Losc, a fait faute dans sa surface sur Odsonne Édouard. L'attaquant a transformé le penalty d'une délicieuse panenka (23e), après que Florian Thauvin lui a donné la possibilité de le tirer. Placé en défense centrale à la place du capitaine Leonardo Balerdi, que De Zerbi avait choisi de faire débuter sur le banc, Pavard a vécu une soirée cauchemardesque. C'est le champion du monde (2018) qui a offert la victoire aux Artésiens en marquant un but contre son camp après un corner (53e). Les joueurs de Pierre Sage ont encore démontré qu'ils avaient fait des coups de pied arrêtés leur spécialité cette saison en marquant leur troisième penalty et leur sixième but après un corner. C'est sous les huées de Bollaert que Pavard a ensuite été remplacé, dès la 61e minute. Marseille a ensuite mis la pression sur les Lensois, dominant, comme durant tout le match, le ballon (68% de possession), sans parvenir à porter véritablement le danger sur les cages gardées par Robin Risser. Un chiffre témoigne de la maladresse marseillaise: seules trois de leurs 17 frappes ont été cadrées. Au contraire, c'est Lens qui a été tout proche du K.O., mais Géronimo Rulli a été impressionnant pour repousser une tête de Florian Thauvin sur sa ligne (62e), un centre transformé en tir de Matthieu Udol (71e) et une frappe à bout portant de Mamadou Sangaré (90e+1). Pierre-Émile Hojbjerg s'est procuré une dernière occasion, mais sa reprise du pied gauche a fui le cadre (90+5). Et Bollaert a laissé éclaté sa joie, celle de voir les siens surprendre la Ligue 1 en s'installant au deuxième rang, alors qu'on leur prédisait une saison de transition avec un effectif renouvelé, un nouvel entraîneur et des moyens financiers encore réduits. En face, Marseille sort sonné de ses deux déplacements de la semaine, mais aura l'occasion de se relancer mercredi contre Angers dans son Vélodrome.
Texte intégral (595 mots)
Cette défaite fait descendre Marseille au troisième rang (18 points), au profit du Paris Saint-Germain, qui récupère la première place (20 pts) grâce à son net succès, dans l'après-midi à Brest (3-0), juste devant les Lensois, désormais deuxièmes (19 pts). Plus rien n'arrête les Sang et Or, qui, depuis leur succès fondateur lors du derby du Nord (3-0), ont remporté trois rencontres et concédé un match nul à Rennes, en évoluant quasiment toute la rencontre en infériorité numérique, en quatre matches. À l'inverse, Marseille connaît un coup d'arrêt après une première défaite mercredi à Lisbonne contre le Sporting (2-1). Cette fois, les joueurs de Roberto De Zerbi ont manqué d'imagination à Bollaert, bien contenus par le bloc lensois, et n'ont pas pu être sauvés par les inspirations d'Igor Paixao, soliste génial ces dernières semaines, plus discret et maladroit samedi soir. L'autre détonateur habituel des Olympiens, Mason Greenwood, a lui réussi à mettre son équipe sur la bonne voie en ouvrant le score d'une reprise limpide à l'entrée de la surface de réparation lensoise (17e), bien servi par Timothy Weah. L'Anglais est revenu à hauteur de Joaquin Panichelli en tête du classement des meilleurs buteurs du championnat (sept buts), une semaine après son quadruplé contre Le Havre. Le cauchemar de Pavard Mais son équipe a connu une toute autre soirée cette fois, qui a commencé après vingt minutes de jeu, quand Benjamin Pavard, formé chez le rival honni, le Losc, a fait faute dans sa surface sur Odsonne Édouard. L'attaquant a transformé le penalty d'une délicieuse panenka (23e), après que Florian Thauvin lui a donné la possibilité de le tirer. Placé en défense centrale à la place du capitaine Leonardo Balerdi, que De Zerbi avait choisi de faire débuter sur le banc, Pavard a vécu une soirée cauchemardesque. C'est le champion du monde (2018) qui a offert la victoire aux Artésiens en marquant un but contre son camp après un corner (53e). Les joueurs de Pierre Sage ont encore démontré qu'ils avaient fait des coups de pied arrêtés leur spécialité cette saison en marquant leur troisième penalty et leur sixième but après un corner. C'est sous les huées de Bollaert que Pavard a ensuite été remplacé, dès la 61e minute. Marseille a ensuite mis la pression sur les Lensois, dominant, comme durant tout le match, le ballon (68% de possession), sans parvenir à porter véritablement le danger sur les cages gardées par Robin Risser. Un chiffre témoigne de la maladresse marseillaise: seules trois de leurs 17 frappes ont été cadrées. Au contraire, c'est Lens qui a été tout proche du K.O., mais Géronimo Rulli a été impressionnant pour repousser une tête de Florian Thauvin sur sa ligne (62e), un centre transformé en tir de Matthieu Udol (71e) et une frappe à bout portant de Mamadou Sangaré (90e+1). Pierre-Émile Hojbjerg s'est procuré une dernière occasion, mais sa reprise du pied gauche a fui le cadre (90+5). Et Bollaert a laissé éclaté sa joie, celle de voir les siens surprendre la Ligue 1 en s'installant au deuxième rang, alors qu'on leur prédisait une saison de transition avec un effectif renouvelé, un nouvel entraîneur et des moyens financiers encore réduits. En face, Marseille sort sonné de ses deux déplacements de la semaine, mais aura l'occasion de se relancer mercredi contre Angers dans son Vélodrome.

25.10.2025 à 22:57

Top 14: le Stade français tout en haut, Perpignan encore à zéro

FRANCE24
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Pour devenir seuls leader (25 points), les Parisiens peuvent remercier leurs voisins du Racing 92. Pour leur deuxième match de la saison délocalisé à Créteil, les Franciliens n'ont pas brillé, avec aucun essai marqué, mais ont fini par prendre le dessus sur Pau (15-10), leader au début de la journée et qui descend d'une place (24 points). Les Palois ont marqué deux essais mais ont laissé en route sept points au pied en première période, permettant au Racing 92 de rester dans le match puis prendre les devant par la botte d'Ugo Seunes. Ils ont pourtant cru réaliser le coup parfait à une minute de la fin grâce à l'ancien de la maison ciel et blanc, Thomas Laclayat. Mais le pilier droit a rampé pour marquer et son essai, qui aurait donné la victoire et le bonus offensif aux Béarnais, a été invalidé. Le Racing remonte à la 4e place (21 points) Cela profite donc au Stade français qui continue son très bon début de saison. Contre Montpellier (35-12), les Parisiens ont mis 25 minutes avant de trouver leurs marques mais ont ensuite déroulé, avec déjà le bonus offensif en poche à la pause (21-0). Si l'effectif a peu changé par rapport à la difficile saison dernière, ce sont d'abord, et une fois de plus, les nouveaux hommes qui ont fait la différence, que ce soit Noah Nene, qui a marqué un doublé alors qu'il était prêté à Dax la saison passée ou le pied de Louis Carbonel, mis à l'écart en fin de saison passée. Impérial à domicile (18 points pris sur 20), efficace en déplacement, le Stade français à tous les ingrédients d'un solide leader. Il pourrait toutefois être détrôné si le Stade toulousain gagne avec bonus offensif contre Toulon dimanche (21h05). L'UBB s'est aussi invitée sur le podium (3e, 23 points) après sa démonstration contre Bayonne (41-12), au stade Atlantique. Seule inquiètude, la sortie en fin de match de Matthieu Jalibert, qui se tenait la cuisse droite. Perpignan toujours au fond En bas du classement, Perpignan s'est enfoncé un peu plus dans la crise en perdant chez les promus montalbanais (29-22) et toujours sans bonus défensif. Dans des conditions dantesques et un environnement fébrile des deux côtés (quatre cartons au total), les Catalans n'ont pas su capitaliser sur leur expérience des matches couperets pour prendre le dessus. Ils ont pourtant pris le bon bout et l'avantage en fin de première période grâce à la précision retrouvée de Tommaso Allan mais Jérôme Bosviel lui a parfaitement répondu, et Montauban a marqué deux essais, contre un pour Perpignan. Les Montalbanais restent à 11 points de la 12e place, occupée par Lyon, mais comptent sept longueurs d'avance sur Perpignan. En ouverture de la journée, la Rochelle a fait un joli coup en allant s'imposer à Lyon (36-19). Après une première période folle (sept essais, deux cartons jaunes), les Lyonnais, défaillants en conquête, ont été muets et n'ont pas marqué un point du deuxième acte. Les Rochelais ont failli arracher le bonus offensif mais doivent se contenter de la satisfaction de leur première victoire à l'extérieur de la saison. Ils reviennent à la 7e place (20 points), avec un match en moins, contre Toulon. Juste derrière (8e, 19 points), Clermont a continué de cartonner à domicile. Après une première période serrée, où les Jaunards se sont surtout appuyés sur leurs ballons portés, ils ont fait exploser Castres, avec neuf essais (63-14).
Texte intégral (605 mots)
Pour devenir seuls leader (25 points), les Parisiens peuvent remercier leurs voisins du Racing 92. Pour leur deuxième match de la saison délocalisé à Créteil, les Franciliens n'ont pas brillé, avec aucun essai marqué, mais ont fini par prendre le dessus sur Pau (15-10), leader au début de la journée et qui descend d'une place (24 points). Les Palois ont marqué deux essais mais ont laissé en route sept points au pied en première période, permettant au Racing 92 de rester dans le match puis prendre les devant par la botte d'Ugo Seunes. Ils ont pourtant cru réaliser le coup parfait à une minute de la fin grâce à l'ancien de la maison ciel et blanc, Thomas Laclayat. Mais le pilier droit a rampé pour marquer et son essai, qui aurait donné la victoire et le bonus offensif aux Béarnais, a été invalidé. Le Racing remonte à la 4e place (21 points) Cela profite donc au Stade français qui continue son très bon début de saison. Contre Montpellier (35-12), les Parisiens ont mis 25 minutes avant de trouver leurs marques mais ont ensuite déroulé, avec déjà le bonus offensif en poche à la pause (21-0). Si l'effectif a peu changé par rapport à la difficile saison dernière, ce sont d'abord, et une fois de plus, les nouveaux hommes qui ont fait la différence, que ce soit Noah Nene, qui a marqué un doublé alors qu'il était prêté à Dax la saison passée ou le pied de Louis Carbonel, mis à l'écart en fin de saison passée. Impérial à domicile (18 points pris sur 20), efficace en déplacement, le Stade français à tous les ingrédients d'un solide leader. Il pourrait toutefois être détrôné si le Stade toulousain gagne avec bonus offensif contre Toulon dimanche (21h05). L'UBB s'est aussi invitée sur le podium (3e, 23 points) après sa démonstration contre Bayonne (41-12), au stade Atlantique. Seule inquiètude, la sortie en fin de match de Matthieu Jalibert, qui se tenait la cuisse droite. Perpignan toujours au fond En bas du classement, Perpignan s'est enfoncé un peu plus dans la crise en perdant chez les promus montalbanais (29-22) et toujours sans bonus défensif. Dans des conditions dantesques et un environnement fébrile des deux côtés (quatre cartons au total), les Catalans n'ont pas su capitaliser sur leur expérience des matches couperets pour prendre le dessus. Ils ont pourtant pris le bon bout et l'avantage en fin de première période grâce à la précision retrouvée de Tommaso Allan mais Jérôme Bosviel lui a parfaitement répondu, et Montauban a marqué deux essais, contre un pour Perpignan. Les Montalbanais restent à 11 points de la 12e place, occupée par Lyon, mais comptent sept longueurs d'avance sur Perpignan. En ouverture de la journée, la Rochelle a fait un joli coup en allant s'imposer à Lyon (36-19). Après une première période folle (sept essais, deux cartons jaunes), les Lyonnais, défaillants en conquête, ont été muets et n'ont pas marqué un point du deuxième acte. Les Rochelais ont failli arracher le bonus offensif mais doivent se contenter de la satisfaction de leur première victoire à l'extérieur de la saison. Ils reviennent à la 7e place (20 points), avec un match en moins, contre Toulon. Juste derrière (8e, 19 points), Clermont a continué de cartonner à domicile. Après une première période serrée, où les Jaunards se sont surtout appuyés sur leurs ballons portés, ils ont fait exploser Castres, avec neuf essais (63-14).

25.10.2025 à 21:55

Barbara Cassin: "Trump et Poutine croient en la puissance du langage, et l'utilisent à leurs fins"

Achren VERDIAN
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Quel est le pouvoir des mots? Les mots peuvent-ils être des armes pour dominer, conquérir, mener des guerres, façonner la réalité politique, manipuler le réel? Ce sont ces questions que pose le dernier essai de Barbara Cassin, philologue et philosophe, académicienne et autrice de: "La guerre des mots, Trump, Poutine et l'Europe" (éditions Flammarion), elle était l'Invitée d'Au Cœur  de l'Info.
Texte intégral (605 mots)
Quel est le pouvoir des mots? Les mots peuvent-ils être des armes pour dominer, conquérir, mener des guerres, façonner la réalité politique, manipuler le réel? Ce sont ces questions que pose le dernier essai de Barbara Cassin, philologue et philosophe, académicienne et autrice de: "La guerre des mots, Trump, Poutine et l'Europe" (éditions Flammarion), elle était l'Invitée d'Au Cœur  de l'Info.

25.10.2025 à 21:53

Présidentielle en Côte d’Ivoire : jour de vote à Yopougon, le regard d’un observateur

FRANCE24
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À Yopougon-Kouté, village de la commune d’Abidjan, la présidentielle s’est déroulée dans le calme, malgré l’ouverture tardive du centre de vote, due à un retard dans la livraison du matériel électoral. Sous le regard d’Yves, observateur citoyen, les électeurs se sont succédé au compte-gouttes tout au long de la journée.
Texte intégral (605 mots)
À Yopougon-Kouté, village de la commune d’Abidjan, la présidentielle s’est déroulée dans le calme, malgré l’ouverture tardive du centre de vote, due à un retard dans la livraison du matériel électoral. Sous le regard d’Yves, observateur citoyen, les électeurs se sont succédé au compte-gouttes tout au long de la journée.

25.10.2025 à 21:44

États-Unis : le Liberia accepte d'accueillir le Salvadorien Abrego Garcia, menacé d'expulsion

FRANCE 24
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Le Liberia a accepté, samedi, d'accueillir "temporairement et pour des raisons humanitaires" Kilmar Abrego Garcia, un Salvadorien, menacé d'expulsion des États-Unis. Il est devenu un symbole de la politique migratoire répressive de Donald Trump.
Texte intégral (605 mots)
Le Liberia a accepté, samedi, d'accueillir "temporairement et pour des raisons humanitaires" Kilmar Abrego Garcia, un Salvadorien, menacé d'expulsion des États-Unis. Il est devenu un symbole de la politique migratoire répressive de Donald Trump.
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