A partir du 1er juillet, une participation financière est exigée pour les entreprises embauchant des apprentis qui préparent un diplôme de niveau bac+3 ou plus. Ce nouveau coup de rabot acte la fin de cinq années d'un "quoi qu'il en coûte" en matière de financement de l'apprentissage.
A partir du 1er juillet, une participation financière est exigée pour les entreprises embauchant des apprentis qui préparent un diplôme de niveau bac+3 ou plus. Ce nouveau coup de rabot acte la fin de cinq années d'un "quoi qu'il en coûte" en matière de financement de l'apprentissage.