Peu avant, Donald Trump venait de presser l’Ukraine d’accepter « immédiatement » la rencontre pour des négociations directes, proposée la veille par le président russe, « dès le 15 mai, à Istanbul ». Emmanuel Macron a souligné, de son côté, « la nécessité d’un cessez-le-feu » pour que la rencontre ait lieu.
Peu avant, Donald Trump venait de presser l’Ukraine d’accepter « immédiatement » la rencontre pour des négociations directes, proposée la veille par le président russe, « dès le 15 mai, à Istanbul ». Emmanuel Macron a souligné, de son côté, « la nécessité d’un cessez-le-feu » pour que la rencontre ait lieu.