L’écrivain turc vient de voir son assignation à résidence levée, après quatre années ayant suivi cinq ans en prison. Très fécond, il publie un roman sur le génocide arménien, malgré le fait que le sujet soit tabou en Turquie, tandis qu’en France paraît « Boléro », un huis clos amoureux.
L’écrivain turc vient de voir son assignation à résidence levée, après quatre années ayant suivi cinq ans en prison. Très fécond, il publie un roman sur le génocide arménien, malgré le fait que le sujet soit tabou en Turquie, tandis qu’en France paraît « Boléro », un huis clos amoureux.