Propriété du chinois Geely, le britannique a démenti, samedi, envisager de relocaliser sa production de voitures de luxe aux Etats-Unis, son premier marché. Mais pris entre la fin programmée des moteurs thermiques en Europe et les droits de douane américains, il reconnaît « explorer activement » de nouvelles options, relève Isabelle Chaperon, journaliste économique au « Monde ».
Propriété du chinois Geely, le britannique a démenti, samedi, envisager de relocaliser sa production de voitures de luxe aux Etats-Unis, son premier marché. Mais pris entre la fin programmée des moteurs thermiques en Europe et les droits de douane américains, il reconnaît « explorer activement » de nouvelles options, relève Isabelle Chaperon, journaliste économique au « Monde ».