Les peines prononcées, vendredi 28 novembre, à Tunis, à l’encontre de 34 opposants politiques du régime, vont de cinq à quarante-cinq ans de prison. Une « campagne implacable visant à faire taire la dissidence », selon Amnesty International.
Les peines prononcées, vendredi 28 novembre, à Tunis, à l’encontre de 34 opposants politiques du régime, vont de cinq à quarante-cinq ans de prison. Une « campagne implacable visant à faire taire la dissidence », selon Amnesty International.