Les « hot spots » imaginés au départ comme des lieux d’enregistrement des migrants se sont transformés peu à peu en centres fermés, comme sur l’île de Samos, où des demandeurs d’asile vivent reclus.
Les « hot spots » imaginés au départ comme des lieux d’enregistrement des migrants se sont transformés peu à peu en centres fermés, comme sur l’île de Samos, où des demandeurs d’asile vivent reclus.