Une nouvelle fois écarté de Matignon, le Parti socialiste est tiraillé entre la volonté de se montrer « responsable », au risque de passer pour la « béquille du macronisme », et la nécessité de ne pas abîmer son capital politique retrouvé, analyse dans sa chronique Sandrine Cassini, journaliste au « Monde ».
Une nouvelle fois écarté de Matignon, le Parti socialiste est tiraillé entre la volonté de se montrer « responsable », au risque de passer pour la « béquille du macronisme », et la nécessité de ne pas abîmer son capital politique retrouvé, analyse dans sa chronique Sandrine Cassini, journaliste au « Monde ».