Depuis l’attaque à Washington contre deux soldats de la garde nationale, les autorités américaines ont multiplié les effets d’annonce contre les migrants, sans s’interdire de parler de « remigration ».

Donald Trump, qui s’est imposé en médiateur dans la guerre russo-ukrainiennne, tente de faire accepter à Kiev et aux Européens son « plan de paix », préparé avec Moscou, dont il a renoncé à exiger un cessez-le-feu. Si les avancées du président américain peuvent sembler erratiques, elles sont aussi révélatrices de l’absence de normes en matière de processus de paix.

Oubliez les « nouvelles routes de la soie » : plus des trois quarts des prêts chinois ciblent désormais des projets dans les économies avancées, selon un nouveau rapport, explique Harold Thibault, journaliste au « Monde », dans sa chronique.