Dressant le bilan du voyage que le chef de l’Eglise catholique vient d’effectuer en Turquie et au Liban, le spécialiste des religions relève, dans une tribune au « Monde », un style diplomatique qui s’appuie sur le droit international plutôt que sur des références confessionnelles.
Depuis l’attaque à Washington contre deux soldats de la garde nationale, les autorités américaines ont multiplié les annonces contre les migrants, évoquant une possible « remigration ».
Donald Trump, qui s’est imposé en médiateur dans la guerre russo-ukrainiennne, tente de faire accepter à Kiev et aux Européens son « plan de paix », préparé avec Moscou, dont il a renoncé à exiger un cessez-le-feu. Si les avancées du président américain peuvent sembler erratiques, elles sont aussi révélatrices de l’absence de normes en matière de processus de paix.