Cédric Aoun défend sa décision, effective jusqu’en novembre, « afin de garantir la sécurité des mineurs, mais aussi celle des Triellois et de leurs biens ». La LDH fustige une mesure « complètement inadaptée », « pénalisante et inquiétante ».
Cédric Aoun défend sa décision, effective jusqu’en novembre, « afin de garantir la sécurité des mineurs, mais aussi celle des Triellois et de leurs biens ». La LDH fustige une mesure « complètement inadaptée », « pénalisante et inquiétante ».