La journaliste et historienne italienne a longtemps été surnommée « la féministe du Vatican », parce qu’elle dirigeait le supplément féminin de « L’Osservatore Romano », le quotidien du soir du Saint-Siège, avant d’en démissionner avec fracas. Dans une tribune au « Monde », elle regrette qu’aucune représentante des religieuses n’ait été conviée aux réunions précédant l’élection du prochain pape.