Le dernier long métrage de Quentin Dupieux, porté par une Adèle Exarchopoulos en youtubeuse dégénérée, s’avère un énième film de son auteur sur la cruauté du monde et l’inanité du spectacle. Vain et un peu cynique.
Le dernier long métrage de Quentin Dupieux, porté par une Adèle Exarchopoulos en youtubeuse dégénérée, s’avère un énième film de son auteur sur la cruauté du monde et l’inanité du spectacle. Vain et un peu cynique.