Au sommet de l’Otan, les 24 et 25 juin, le président américain est arrivé gonflé de son prétendu «succès» en Iran : faut-il vraiment se contenter de flatter la brute comme le préconisent les praticiens du trumpisme ?
Au sommet de l’Otan, les 24 et 25 juin, le président américain est arrivé gonflé de son prétendu «succès» en Iran : faut-il vraiment se contenter de flatter la brute comme le préconisent les praticiens du trumpisme ?