A l’occasion du 1er Mai, le président colombien a appelé le «peuple» à soutenir sa proposition pour défendre les salariés, aujourd’hui obligés de travailler quarante-six heures par semaine.
A l’occasion du 1er Mai, le président colombien a appelé le «peuple» à soutenir sa proposition pour défendre les salariés, aujourd’hui obligés de travailler quarante-six heures par semaine.