En détruisant des SMS échangés avec le patron de Pfizer lors de la négociation d’un méga contrat d’achat de vaccins contre le Covid, la présidente de la Commission a manqué à son obligation de transparence dans cette affaire connue sous le nom de «Pfizergate», estime le Tribunal de l’Union européenne.
En détruisant des SMS échangés avec le patron de Pfizer lors de la négociation d’un méga contrat d’achat de vaccins contre le Covid, la présidente de la Commission a manqué à son obligation de transparence dans cette affaire connue sous le nom de «Pfizergate», estime le Tribunal de l’Union européenne.