Trois ans après la mort de Lola, 12 ans, partis et groupuscules continuent d’utiliser sans vergogne son nom et son image. A la veille du procès, les avocates de Delphine Daviet craignent une «préemption» de la mémoire de l’enfant, utilisée pour nourrir des discours racistes et identitaires malgré les appels répétés de la famille à la dignité et au silence.
Trois ans après la mort de Lola, 12 ans, partis et groupuscules continuent d’utiliser sans vergogne son nom et son image. A la veille du procès, les avocates de Delphine Daviet craignent une «préemption» de la mémoire de l’enfant, utilisée pour nourrir des discours racistes et identitaires malgré les appels répétés de la famille à la dignité et au silence.