Dans une étude publiée cette semaine dans «Nature», des chercheurs français et australiens montrent que la probabilité de faire de l’apnée du sommeil obstructive augmente de 45 % entre les jours les plus chauds et ceux les plus frais. Et chiffrent les conséquences économiques et sanitaires, notamment sur la perte d’espérance de vie.
Dans une étude publiée cette semaine dans «Nature», des chercheurs français et australiens montrent que la probabilité de faire de l’apnée du sommeil obstructive augmente de 45 % entre les jours les plus chauds et ceux les plus frais. Et chiffrent les conséquences économiques et sanitaires, notamment sur la perte d’espérance de vie.