Les discriminations et les violences ont été le moteur de l’histoire de l’Algérie coloniale, au contraire des amitiés et des sociabilités partagées entre «musulmans» et «non-musulmans», qui sont restées très limitées, explique l’historienne.
Les discriminations et les violences ont été le moteur de l’histoire de l’Algérie coloniale, au contraire des amitiés et des sociabilités partagées entre «musulmans» et «non-musulmans», qui sont restées très limitées, explique l’historienne.