Ce nouveau document «difficilement falsifiable et davantage sécurisé», en vigueur à compter de ce mardi 1er juillet, a pour objectif de lutter contre les faux arrêts de travail. Ceux-ci ont coûté 30 millions d’euros à l’Assurance maladie en 2024.
Ce nouveau document «difficilement falsifiable et davantage sécurisé», en vigueur à compter de ce mardi 1er juillet, a pour objectif de lutter contre les faux arrêts de travail. Ceux-ci ont coûté 30 millions d’euros à l’Assurance maladie en 2024.