Le document de la commission, rendu public ce mercredi 2 juillet, consacre 63 pages à l’établissement catholique béarnais visé par de nombreuses plaintes d’anciens élèves. Il révèle en détail les mécanismes d’un système d’omerta, les défaillances institutionnelles et politiques – dont celles de l’actuel Premier ministre – qui ont permis aux violences de durer.
Le document de la commission, rendu public ce mercredi 2 juillet, consacre 63 pages à l’établissement catholique béarnais visé par de nombreuses plaintes d’anciens élèves. Il révèle en détail les mécanismes d’un système d’omerta, les défaillances institutionnelles et politiques – dont celles de l’actuel Premier ministre – qui ont permis aux violences de durer.