Poursuivi pour avoir déclaré que les délinquants sur le sol français étaient soit des «immigrés» soit des «enfants d’immigrés», le président du parti Reconquête a été relaxé, ce mercredi 2 juillet, par la justice.
Poursuivi pour avoir déclaré que les délinquants sur le sol français étaient soit des «immigrés» soit des «enfants d’immigrés», le président du parti Reconquête a été relaxé, ce mercredi 2 juillet, par la justice.