Les faits, atroces, et qui seront jugés à partir de ce vendredi 17 octobre, peuvent incliner à vouloir infliger à son tour la barbarie, ce qu’empêche l’abolition de la peine de mort. Et c’est salutaire.
Les faits, atroces, et qui seront jugés à partir de ce vendredi 17 octobre, peuvent incliner à vouloir infliger à son tour la barbarie, ce qu’empêche l’abolition de la peine de mort. Et c’est salutaire.