Depuis plus de dix ans, la formation d’extrême droite trie ses journalistes comme on filtre ses entrées VIP. Meetings, congrès, soirées électorales ou simples réunions locales : «Mediapart», «Quotidien», «Libé» et même «la Voix du Nord» ont vu des reporters refoulés.
Depuis plus de dix ans, la formation d’extrême droite trie ses journalistes comme on filtre ses entrées VIP. Meetings, congrès, soirées électorales ou simples réunions locales : «Mediapart», «Quotidien», «Libé» et même «la Voix du Nord» ont vu des reporters refoulés.