Un an après les législatives, le président de la République a retrouvé le droit de provoquer de nouvelles élections. S’il affirme ne pas vouloir l’exercer, conscient que son camp n’en sortirait probablement pas vainqueur, il n’exclut rien.
Un an après les législatives, le président de la République a retrouvé le droit de provoquer de nouvelles élections. S’il affirme ne pas vouloir l’exercer, conscient que son camp n’en sortirait probablement pas vainqueur, il n’exclut rien.