Les concentrations de dioxyde de carbone ont connu leur plus forte hausse depuis 1957, a averti ce mercredi 15 octobre l’organisation météorologique des Nations unies. En cause, la hausse persistante des émissions d’origine humaine, qui en sus, en causant sécheresses, feux de forêts et réchauffement des océans, réduit les capacités d’absorption de ces puits de carbone naturels.
Les concentrations de dioxyde de carbone ont connu leur plus forte hausse depuis 1957, a averti ce mercredi 15 octobre l’organisation météorologique des Nations unies. En cause, la hausse persistante des émissions d’origine humaine, qui en sus, en causant sécheresses, feux de forêts et réchauffement des océans, réduit les capacités d’absorption de ces puits de carbone naturels.