Il n’y a pas qu’aux César que ça chouine et ça renifle. Plus on s’éloigne du travail réel et productif (industrie, agriculture, artisanat, cuisine…), plus on a les nerfs à fleur de peau. Dans le tertiaire cocooning, les « open spaces » sont devenus le théâtre d’une émotivité « no limit » chez les salariés, jeunes ou blets…
Il n’y a pas qu’aux César que ça chouine et ça renifle. Plus on s’éloigne du travail réel et productif (industrie, agriculture, artisanat, cuisine…), plus on a les nerfs à fleur de peau. Dans le tertiaire cocooning, les « open spaces » sont devenus le théâtre d’une émotivité « no limit » chez les salariés, jeunes ou blets…