La cheffe de file des Ecologistes était l’invitée de France Inter, de France Télévisions et du « Monde », dimanche 12 octobre.

Le Monégasque, issu des qualifications et seulement 204e joueur mondial au début du tournoi, s’est imposé dimanche contre Arthur Rinderknech en trois sets (4-6, 6-3, 6-3).

Le concert en extérieur du groupe L2B était organisé au Forum des Halles dans le cadre du festival de rap Centrale Place. Selon la Préfecture, 2 000 spectateurs étaient recensés samedi à 17 heures alors que la jauge fixée était de 800 personnes.

Le premier ministre pakistanais a condamné les « provocations » de l’Afghanistan, promettant « une réponse forte et efficace ». Selon Kaboul, l’armée pakistanaise avait bombardé des cibles dans la capitale afghane et dans le sud-est du pays, jeudi.

« Une planète à + 1,5 °C » (3/6). La ville historique sera en grande partie immergée d’ici à la fin du XXIᵉ siècle. Plusieurs milliers de pêcheurs ont déjà quitté leur logement sur la plage pour une étouffante cité-dortoir.

Des officiers d’un contingent de l’armée qui a rejoint les manifestants samedi ont affirmé dimanche avoir pris le contrôle des forces armées et appelé les forces de sécurité à « refuser les ordres ».

Le politiste palestinien Yezid Sayigh décrypte, dans un entretien au « Monde », les atouts et les failles de la feuille de route américaine, approuvée par l’Etat hébreu et le Hamas, qui a débouché sur l’instauration d’un nouveau cessez-le-feu dans l’enclave côtière.

Outrageusement promu par le groupe du milliardaire breton, le souverainiste au discours radical connaît un regain de popularité inattendu à l’extrême droite. De quoi peser sur la prochaine campagne présidentielle.

Dans les heures qui ont suivi la mort du militant ultraconservateur américain, des représentants des extrêmes droites européennes ont repris à l’unisson le discours du monde MAGA, faisant de cet Américain jusqu’ici peu connu sur le Vieux Continent le « martyr » d’une cause commune.

Dans un climat d’impunité persistante depuis la chute de Bachar Al-Assad en décembre 2024, la fragile paix promise par le président de transition, Ahmed Al-Charaa, peine à contenir un désir de revanche tenace, que des groupes djihadistes exploitent pour renforcer leur influence.