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04.05.2025 à 10:44

Gabon : Brice Oligui Nguema prête serment et est officiellement président

FRANCE24
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Brice Oligui Nguema a prêté serment samedi 3 mai comme président. Avant un retour complet à l'ordre constitutionnel, le Gabon devra encore organiser des élections législatives, prévues avant la fin de l'été.
Brice Oligui Nguema a prêté serment samedi 3 mai comme président. Avant un retour complet à l'ordre constitutionnel, le Gabon devra encore organiser des élections législatives, prévues avant la fin de l'été.

04.05.2025 à 10:42

Guerre en Ukraine : Volodymyr Zelensky demande 30 jours de cessez-le-feu

FRANCE24
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Volodymyr Zelensky dit ne pas vouloir "jouer" avec les trêves proposées par Vladimir Poutine, notamment lors des commémorations de la Seconde Guerre mondiale. Il y voit une "performance théâtrale" de son homologue russe, estimant qu'elles ne permettent pas d'engager des pourparlers de paix. La Russie accuse, elle, le président ukrainien de proférer une "menace directe" contre la sécurité des célébrations du 9 mai.
Volodymyr Zelensky dit ne pas vouloir "jouer" avec les trêves proposées par Vladimir Poutine, notamment lors des commémorations de la Seconde Guerre mondiale. Il y voit une "performance théâtrale" de son homologue russe, estimant qu'elles ne permettent pas d'engager des pourparlers de paix. La Russie accuse, elle, le président ukrainien de proférer une "menace directe" contre la sécurité des célébrations du 9 mai.

04.05.2025 à 10:39

Syrie : intensification des frappes israéliennes dans le sud du pays

FRANCE24
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Israël a mené des frappes dans le sud de la Syrie, affirmant vouloir protéger la communauté druze face à la menace de groupes armés. L’ONU exhorte Israël à mettre fin aux attaques et à respecter le droit international.
Israël a mené des frappes dans le sud de la Syrie, affirmant vouloir protéger la communauté druze face à la menace de groupes armés. L’ONU exhorte Israël à mettre fin aux attaques et à respecter le droit international.

04.05.2025 à 10:34

Sans aucune aide extérieure, Gaza proche de l’effondrement total

FRANCE24
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Après deux mois sans aucune aide extérieure, la situation humanitaire à Gaza atteint un seuil critique. Les structures d’assistance sont à bout de souffle, incapables de répondre aux besoins croissants de la population. Les déplacements constants, le manque d’accès à l’eau, à la nourriture et aux soins de base aggravent une crise déjà insoutenable. Les ONG présentes alertent désormais sur un risque d’effondrement total des opérations de secours. 
Après deux mois sans aucune aide extérieure, la situation humanitaire à Gaza atteint un seuil critique. Les structures d’assistance sont à bout de souffle, incapables de répondre aux besoins croissants de la population. Les déplacements constants, le manque d’accès à l’eau, à la nourriture et aux soins de base aggravent une crise déjà insoutenable. Les ONG présentes alertent désormais sur un risque d’effondrement total des opérations de secours. 

04.05.2025 à 10:31

Chute d'un missile dans l'enceinte de l'aéroport de Tel-Aviv après un tir du Yémen

FRANCE24
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Le tir a été revendiqué par les rebelles Houthis du Yémen, qui ont affirmé dans un communiqué "avoir ciblé l’aéroport Ben Gourion avec un missile balistique hypersonique qui a atteint sa cible avec succès". Selon un photographe de l'AFP sur place, le missile est tombé dans une zone plantée d'arbres à côté d'une bretelle d'accès aux parkings du Terminal 3, le plus important de l'aéroport, à moins d'un kilomètre du tarmac. Mais d'après des médias israéliens, la police cherche encore à déterminer si "l'impact de missile" près de l'aéroport a été causé par le missile yéménite ou par un contre-missile israélien. Alliés du mouvement islamiste palestinien Hamas, les Houthis ont revendiqué des dizaines d'attaques aux missiles et drones contre Israël dont des tirs en direction de l'aéroport, depuis le début de la guerre à Gaza. La quasi-totalité des tirs ont été interceptés. Dimanche matin, des sirènes d'alerte ont retenti dans plusieurs régions d'Israël où les défenses anti-aériennes ont tenté d'intercepter le missile tiré du Yémen selon l'armée. De fortes détonations ont été entendues également à Jérusalem et dans les environs. Les services de secours ont annoncé avoir pris en charge au moins six blessés, dans des états "léger" ou "modéré", sans plus de précision. "La vie s'arrête" "Vous pouvez voir la zone juste derrière nous: un cratère s'y est formé, large de plusieurs dizaines de mètres et également profond de plusieurs dizaines de mètres", a déclaré le chef de la police de la région centre d'Israël, Yaïr Hezroni, dans une vidéo avec la tour de contrôle de l'aéroport en toile de fond. Les autorités aéroportuaires ont annoncé dans un communiqué la reprise du trafic aérien après une brève interruption. "Les décollages et les atterrissages ont repris normalement. L'aéroport Ben Gourion est ouvert et opérationnel." Certains vols ont été annulés et d'autres déroutés, notamment un vol Air India en approche qui a mis le cap vers Abou Dhabi, d'après un responsable de l'aéroport. "C'est fou à dire, mais depuis le 7-Octobre, nous somme habitués à ça", a déclaré à l'AFP une passagère à l'aéroport, en allusion à l'attaque sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre à Gaza. "Un missile peut tomber n'importe quand et la vie s'arrête pour un moment. Il y a eu de la panique à l'aéroport et j'ai été moi-même effrayée parce que l'explosion était forte. Mais ça va maintenant, j'essaye de trouver un autre vol", a-t-elle ajouté sous couvert de l'anonymat. "Sept fois plus fort" Le ministre de la Défense Israël Katz a menacé de riposter à ce tir. "Celui qui nous frappe sera frappé sept fois plus fort". Israël a déjà mené plusieurs attaques contre des cibles des Houthis au Yémen. Les Houthis ont revendiqué vendredi et samedi plusieurs tirs de missiles sur Israël, dont l'armée israélienne a annoncé l'interception. Ces rebelles contrôlent de larges pans du Yémen en guerre, dont la capitale Sanaa, à plus de 1.800 km de la frontière sud d'Israël. Depuis le début de la guerre à Gaza entre Israël et le Hamas, les Houthis ont annoncé des attaques contre Israël en solidarité avec les Palestiniens. Ils ont également pris pour cible des navires qu'ils estiment liés à Israël en mer Rouge, une zone essentielle pour le trafic maritime mondial. Après une suspension de deux mois, les Houthis ont repris les attaques contre Israël avec la reprise de l'offensive israélienne sur la bande de Gaza le 18 mars. Les Etats-Unis, sous la présidence de Joe Biden, avaient commencé en janvier 2024 à frapper les positions des Houthis pour les contraindre à cesser leurs tirs. La campagne s'est intensifiée après le retour de Donald Trump à la Maison Blanche en janvier. Le Pentagone a indiqué fin avril avoir frappé plus de 1.000 cibles au Yémen depuis le 15 mars, "tuant des combattants et des dirigeants houthis".
Texte intégral (713 mots)
Le tir a été revendiqué par les rebelles Houthis du Yémen, qui ont affirmé dans un communiqué "avoir ciblé l’aéroport Ben Gourion avec un missile balistique hypersonique qui a atteint sa cible avec succès". Selon un photographe de l'AFP sur place, le missile est tombé dans une zone plantée d'arbres à côté d'une bretelle d'accès aux parkings du Terminal 3, le plus important de l'aéroport, à moins d'un kilomètre du tarmac. Mais d'après des médias israéliens, la police cherche encore à déterminer si "l'impact de missile" près de l'aéroport a été causé par le missile yéménite ou par un contre-missile israélien. Alliés du mouvement islamiste palestinien Hamas, les Houthis ont revendiqué des dizaines d'attaques aux missiles et drones contre Israël dont des tirs en direction de l'aéroport, depuis le début de la guerre à Gaza. La quasi-totalité des tirs ont été interceptés. Dimanche matin, des sirènes d'alerte ont retenti dans plusieurs régions d'Israël où les défenses anti-aériennes ont tenté d'intercepter le missile tiré du Yémen selon l'armée. De fortes détonations ont été entendues également à Jérusalem et dans les environs. Les services de secours ont annoncé avoir pris en charge au moins six blessés, dans des états "léger" ou "modéré", sans plus de précision. "La vie s'arrête" "Vous pouvez voir la zone juste derrière nous: un cratère s'y est formé, large de plusieurs dizaines de mètres et également profond de plusieurs dizaines de mètres", a déclaré le chef de la police de la région centre d'Israël, Yaïr Hezroni, dans une vidéo avec la tour de contrôle de l'aéroport en toile de fond. Les autorités aéroportuaires ont annoncé dans un communiqué la reprise du trafic aérien après une brève interruption. "Les décollages et les atterrissages ont repris normalement. L'aéroport Ben Gourion est ouvert et opérationnel." Certains vols ont été annulés et d'autres déroutés, notamment un vol Air India en approche qui a mis le cap vers Abou Dhabi, d'après un responsable de l'aéroport. "C'est fou à dire, mais depuis le 7-Octobre, nous somme habitués à ça", a déclaré à l'AFP une passagère à l'aéroport, en allusion à l'attaque sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre à Gaza. "Un missile peut tomber n'importe quand et la vie s'arrête pour un moment. Il y a eu de la panique à l'aéroport et j'ai été moi-même effrayée parce que l'explosion était forte. Mais ça va maintenant, j'essaye de trouver un autre vol", a-t-elle ajouté sous couvert de l'anonymat. "Sept fois plus fort" Le ministre de la Défense Israël Katz a menacé de riposter à ce tir. "Celui qui nous frappe sera frappé sept fois plus fort". Israël a déjà mené plusieurs attaques contre des cibles des Houthis au Yémen. Les Houthis ont revendiqué vendredi et samedi plusieurs tirs de missiles sur Israël, dont l'armée israélienne a annoncé l'interception. Ces rebelles contrôlent de larges pans du Yémen en guerre, dont la capitale Sanaa, à plus de 1.800 km de la frontière sud d'Israël. Depuis le début de la guerre à Gaza entre Israël et le Hamas, les Houthis ont annoncé des attaques contre Israël en solidarité avec les Palestiniens. Ils ont également pris pour cible des navires qu'ils estiment liés à Israël en mer Rouge, une zone essentielle pour le trafic maritime mondial. Après une suspension de deux mois, les Houthis ont repris les attaques contre Israël avec la reprise de l'offensive israélienne sur la bande de Gaza le 18 mars. Les Etats-Unis, sous la présidence de Joe Biden, avaient commencé en janvier 2024 à frapper les positions des Houthis pour les contraindre à cesser leurs tirs. La campagne s'est intensifiée après le retour de Donald Trump à la Maison Blanche en janvier. Le Pentagone a indiqué fin avril avoir frappé plus de 1.000 cibles au Yémen depuis le 15 mars, "tuant des combattants et des dirigeants houthis".

04.05.2025 à 10:31

Rien n'arrête les mariages au Cachemire pakistanais, pas même les tensions avec l'Inde

FRANCE24
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Les tensions accrues entre les deux pays, déclenchées par l'attaque ayant fait 26 morts il y a près de deux semaines au Cachemire indien et dont New Delhi tient Islamabad pour responsable, ont placé la région frontalière au ralenti, suspendue aux décisions politiques et militaires de part et d'autre. Dans les conflits précédents, les habitants de la vallée de Neelum, traversée par une rivière faisant office de frontière, ont souvent été les premières victimes. Des tirs ont déjà été échangés depuis plus d'une semaine le long de la Ligne de contrôle (LoC), qui divise sur 770 km la région disputée. "Si une guerre éclate, on y fera face", jure Shoaib Akhtar, ingénieur en génie mécanique. "Aujourd'hui, je me marie et c'est ce qui importe". Derrière lui, ses proches soulèvent son épouse dans un palanquin traditionnel d'Asie du Sud, dans un village aux allures paisibles, à un ricochet du sol indien. "C'est le plus bel événement d'une vie, on ne laissera rien le ruiner", poursuit-il. Anticipant des actions militaires indiennes, le Cachemire pakistanais a fermé pour dix jours ses 1.100 écoles coraniques. Dans les 6.000 écoles publiques, toujours ouvertes, les autorités locales ont lancé il y a quelques jours des formations aux premiers secours. De l'autre côté de la rivière, une vaste chasse à l'homme se poursuit à la recherche des assaillants de l'attentat du 22 avril dans la ville touristique de Pahalgam, tandis que certains habitants ont préféré fuir loin de la frontière. De part et d'autre, les touristes habituellement attirés par les températures plus clémentes que dans le reste des deux pays sont invités à faire demi-tour par les autorités. "Nous nous battrons" "Quand nous étions enfants, c'était déjà comme ça, mais nous n'avons et n'aurons pas peur", assure Rabia Bibi, une mariée de 18 ans vêtue de rouge, dans un autre village de la vallée. "Nous voulons la paix pour que nos vies ne soient pas troublées", dit-elle aussi. Plusieurs habitants de région ont dit à l'AFP avoir été invités par les autorités pakistanaises à la vigilance. Inde et Pakistan revendiquent tous deux la souveraineté de l'ensemble du Cachemire, territoire à majorité musulmane, depuis la partition sanglante qui a suivi leur indépendance en 1947. Les deux puissances nucléaires rivales s'accusent mutuellement de soutenir des groupes armés de l'autre côté de leur frontière. Cette semaine, le Premier ministre indien Narendra Modi a donné son feu vert à une riposte militaire visant le Pakistan, qui a indiqué samedi avoir effectué un essai de lancement de missiles sol-sol pour afficher sa "préparation opérationnelle". Même si certains sont inquiets, "nous n'avons pas annulé les cérémonies traditionnelles", indique Chaudhry Junaid, l'époux de Rabia Bibi, cuisinier de 23 ans. La bonne humeur prime pendant la noce et parmi les invités, certains échangent même des blagues sur le Premier ministre Modi. "Nous sommes heureux et si l'Inde a un problème, on s'en fiche", lance Mme Bibi. "Nous nous battrons pour nos intérêts et notre nation".
Texte intégral (536 mots)
Les tensions accrues entre les deux pays, déclenchées par l'attaque ayant fait 26 morts il y a près de deux semaines au Cachemire indien et dont New Delhi tient Islamabad pour responsable, ont placé la région frontalière au ralenti, suspendue aux décisions politiques et militaires de part et d'autre. Dans les conflits précédents, les habitants de la vallée de Neelum, traversée par une rivière faisant office de frontière, ont souvent été les premières victimes. Des tirs ont déjà été échangés depuis plus d'une semaine le long de la Ligne de contrôle (LoC), qui divise sur 770 km la région disputée. "Si une guerre éclate, on y fera face", jure Shoaib Akhtar, ingénieur en génie mécanique. "Aujourd'hui, je me marie et c'est ce qui importe". Derrière lui, ses proches soulèvent son épouse dans un palanquin traditionnel d'Asie du Sud, dans un village aux allures paisibles, à un ricochet du sol indien. "C'est le plus bel événement d'une vie, on ne laissera rien le ruiner", poursuit-il. Anticipant des actions militaires indiennes, le Cachemire pakistanais a fermé pour dix jours ses 1.100 écoles coraniques. Dans les 6.000 écoles publiques, toujours ouvertes, les autorités locales ont lancé il y a quelques jours des formations aux premiers secours. De l'autre côté de la rivière, une vaste chasse à l'homme se poursuit à la recherche des assaillants de l'attentat du 22 avril dans la ville touristique de Pahalgam, tandis que certains habitants ont préféré fuir loin de la frontière. De part et d'autre, les touristes habituellement attirés par les températures plus clémentes que dans le reste des deux pays sont invités à faire demi-tour par les autorités. "Nous nous battrons" "Quand nous étions enfants, c'était déjà comme ça, mais nous n'avons et n'aurons pas peur", assure Rabia Bibi, une mariée de 18 ans vêtue de rouge, dans un autre village de la vallée. "Nous voulons la paix pour que nos vies ne soient pas troublées", dit-elle aussi. Plusieurs habitants de région ont dit à l'AFP avoir été invités par les autorités pakistanaises à la vigilance. Inde et Pakistan revendiquent tous deux la souveraineté de l'ensemble du Cachemire, territoire à majorité musulmane, depuis la partition sanglante qui a suivi leur indépendance en 1947. Les deux puissances nucléaires rivales s'accusent mutuellement de soutenir des groupes armés de l'autre côté de leur frontière. Cette semaine, le Premier ministre indien Narendra Modi a donné son feu vert à une riposte militaire visant le Pakistan, qui a indiqué samedi avoir effectué un essai de lancement de missiles sol-sol pour afficher sa "préparation opérationnelle". Même si certains sont inquiets, "nous n'avons pas annulé les cérémonies traditionnelles", indique Chaudhry Junaid, l'époux de Rabia Bibi, cuisinier de 23 ans. La bonne humeur prime pendant la noce et parmi les invités, certains échangent même des blagues sur le Premier ministre Modi. "Nous sommes heureux et si l'Inde a un problème, on s'en fiche", lance Mme Bibi. "Nous nous battrons pour nos intérêts et notre nation".

04.05.2025 à 10:29

Elections présidentielles en Roumanie : l'extrême droite favorite

FRANCE24
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Les citoyens roumain retournent aux urnes ce dimanche pour ces élections présidentielles capitales pour le pays. L'extrême droite est favorite. Analyse de Stelian Tănase, écrivain et professeur de sciences politiques à l'Université de Bucarest.
Texte intégral (536 mots)
Les citoyens roumain retournent aux urnes ce dimanche pour ces élections présidentielles capitales pour le pays. L'extrême droite est favorite. Analyse de Stelian Tănase, écrivain et professeur de sciences politiques à l'Université de Bucarest.

04.05.2025 à 10:27

Israël : les Houthis revendiquent un tir de missile près de l'aéroport de Tel-Aviv

FRANCE 24
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Les rebelles houthis du Yémen ont revendiqué dimanche le tir d'un "missile balistique" contre l’aéroport international Ben-Gourion de Tel-Aviv, selon leur chaîne al-Massirah. La police israélienne avait auparavant signalé un "impact de missile" près de l’aéroport, sans préciser s'il s'agissait du projectile tiré depuis le Yémen ou d'un contre-missile israélien.
Texte intégral (536 mots)
Les rebelles houthis du Yémen ont revendiqué dimanche le tir d'un "missile balistique" contre l’aéroport international Ben-Gourion de Tel-Aviv, selon leur chaîne al-Massirah. La police israélienne avait auparavant signalé un "impact de missile" près de l’aéroport, sans préciser s'il s'agissait du projectile tiré depuis le Yémen ou d'un contre-missile israélien.

04.05.2025 à 09:56

L'armée soudanaise annonce une attaque de drones par les paramilitaires contre Port-Soudan

FRANCE 24
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Selon un porte-parole de l'armée soudanaise, les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) ont lancé dimanche plusieurs "drones explosifs" contre cette ville stratégique de la côte de la mer Rouge, siège provisoire des autorités. L’aéroport, un entrepôt de marchandises et des installations civiles ont été visés. Aucun blessé n’a été signalé.
Texte intégral (536 mots)
Selon un porte-parole de l'armée soudanaise, les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) ont lancé dimanche plusieurs "drones explosifs" contre cette ville stratégique de la côte de la mer Rouge, siège provisoire des autorités. L’aéroport, un entrepôt de marchandises et des installations civiles ont été visés. Aucun blessé n’a été signalé.
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