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01.07.2025 à 22:29

Contrôleurs en grève: le trafic aérien très perturbé jeudi à Paris et dans le Sud

FRANCE24
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Un quart des vols annulés à Paris-Charles-de-Gaulle, Orly et Beauvais, la moitié à Nice, Bastia et Calvi: la Direction générale de l'aviation civile a demandé mardi aux compagnies aériennes de réduire fortement leurs programmes de vols face à ce mouvement social. L'administration, qui cherche à mettre en adéquation le nombre de contrôleurs à leurs postes et les vols à gérer afin d'éviter des perturbations supplémentaires, a en outre réclamé des annulations pour 30% des vols au départ et à l'arrivée de Lyon, Marseille, Montpellier, Ajaccio et Figari, a-t-elle précisé dans un communiqué. "En dépit de ces mesures préventives, des perturbations et des retards importants sont à prévoir sur l’ensemble des aéroports français", a prévenu l'administration, qui a dit en outre travailler "avec le gestionnaire du réseau européen (Eurocontrol) afin de proposer aux compagnies aériennes des mesures de contournement de l’espace aérien national". Après deux réunions de "conciliation" infructueuses avec la DGAC, la dernière lundi, le deuxième syndicat d'aiguilleurs du ciel, l'UNSA-ICNA, a maintenu son appel à la grève jeudi et vendredi. L'organisation syndicale, qui a rassemblé 17% des voix aux dernières élections professionnelles, a estimé que l'administration n'avait formulé "aucune réponse aux alertes transmises pourtant depuis des semaines", et cité parmi ses griefs un "sous-effectif structurel", des "projets techniques en échec" et un "management toxique". "La DGAC reconnaît les difficultés liées à la situation de sous-effectif chronique, qui affectent la qualité du service rendu aux compagnies aériennes. C’est précisément pour y remédier qu’elle défend un plan de recrutement ambitieux, inscrit dans une stratégie pluriannuelle, afin de garantir un service performant et sécurisé", avait fait valoir l'administration la semaine dernière. Réforme en cours Celle-ci avait par ailleurs dit "regrette(r) profondément le choix de ces dates (du 3 et 4 juillet), qui correspondent aux jours les plus chargés de l'année, en raison des nombreux départs en vacances sur cette période". L'UNSA-ICNA a été rejointe dans ce mouvement par le troisième syndicat de contrôleurs, l'USAC-CGT (16% des suffrages), qui avait dénoncé lui aussi un "contexte social fortement dégradé" à la DGAC, mais appelé à la grève le jeudi 3 juillet seulement. Le premier syndicat de contrôleurs, le SNCTA (60% des voix), a indiqué à l'AFP ne pas appeler à la grève. Pour la DGAC, les revendications portent sur "le contrôle de présence des contrôleurs, les rémunérations, et le recrutement". Une réforme est en cours pour établir un pointage des contrôleurs à la prise de poste, à la suite d'un "incident grave" à l'aéroport de Bordeaux fin 2022, quand deux avions avaient failli entrer en collision. Le Bureau d'enquêtes et d'analyses pour la sécurité de l'aviation civile (BEA), dans un rapport, en avait fait peser la responsabilité sur une organisation défaillante du travail de contrôleurs, en dehors du cadre légal et sans respect du tableau de service. La DGAC a par ailleurs rappelé mercredi dernier avoir signé en 2024 un accord avec la majorité des syndicats, qui "a permis des revalorisations salariales pour les contrôleurs aériens". "Malgré un contexte budgétaire difficile pour l'État, certaines de ces mesures sont déjà mises en œuvre et les autres seront appliquées", a ajouté l'administration. Les ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne (ICNA) figurent parmi les fonctionnaires les mieux payés, avec un salaire brut moyen "de l’ordre de 96.000 euros par an, soit environ 8.000 euros mensuels", selon un rapport du Sénat d'octobre 2024. L'annonce des conséquences de ce mouvement social intervient à la veille du congrès annuel mercredi de la Fédération nationale de l'aviation et de ses métiers (Fnam), porte-voix des compagnies aériennes françaises, un événement organisé justement au siège de la DGAC à Paris.

01.07.2025 à 22:23

TF1 creuse le sillon des fictions historiques pour une saison "conquérante"

FRANCE24
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Bientôt privée de sa série phénomène "HPI", dont les ultimes épisodes seront diffusés prochainement, la Une a plein d'autres cartes dans sa manche. "On a une vingtaine de nouveautés en fiction", a fait valoir mardi à l'AFP le directeur des programmes et des acquisitions de TF1, Fabrice Bailly, en amont d'une conférence de presse sur la rentrée "offensive" du groupe audiovisuel. Outre la saison 2 de "Cat's Eyes" - dont la première avait été cofinancée par Prime Video, la plateforme d'Amazon -, TF1 mise sur deux autres superproductions, "L'Ete 36" et "Montmartre", séries d'époque respectivement coproduites avec Netflix et Disney+, qui les diffuseront dans un second temps. La première s'inscrit dans le sillage des deux sagas sur lesquelles ont collaboré TF1 et Netflix, "Le bazar de la charité", qui se déroulait au 19e siècle, et "Les Combattantes", durant la Première Guerre mondiale. Julie de Bona, Sofia Essaïdi, Nolwenn Leroy et Constance Gay y camperont quatre femmes de milieux différents mêlées à un meurtre dans un hôtel très chic de Nice en 1936, l'année des premiers congés payés. Coproduite avec Disney+, "Montmartre" plongera elle dans le monde du cabaret en 1899 à travers Céleste (Alice Dufour), danseuse de cancan amenée à devenir la première effeuilleuse de Paris. De manière plus surprenante, TF1 vient de démarrer le tournage d"'Oradour ne m'oublie pas", un téléfilm sur le massacre d'Oradour-sur-Glane avec Matt Pokora. Le chanteur de 39 ans y campera un officier des Forces Françaises Libres parachuté près du village du Limousin "le 5 juin 1944, cinq jours avant le plus important massacre de civils français pendant la Seconde Guerre mondiale". Au rayon nouveautés figurent aussi la comédie romantique "La belle et le boulanger", remake d'une série israélienne porté par le chanteur Amir, "Rien ne t'efface", adaptation du roman éponyme de Michel Bussi, avec Gwendoline Hamon ("Cassandre) et Fauve Hautot, ou encore "Filip", un téléfilm sur le destin tragique du leader des 2be3, Filip Nicolic. "Test permanent" "TF1 est un des acteurs qui investit le plus en fiction française", un genre "qui fonctionne très bien sur le linéaire (télévision traditionnelle), mais aussi sur le streaming", a commenté Fabrice Bailly. La première chaîne de France (18,8% de part d'audience de septembre à juin), tire une part de plus en plus importante de ses audiences de la plateforme TF1+ (30% pour "Cat's Eyes", par exemple), lancée en 2024 et qui revendique 4 millions d'utilisateurs quotidiens. Dans ce contexte, l'association avec les plateformes américaine permet à TF1 de "financer des oeuvres extrêmement ambitieuses", sans que le partage de la diffusion n'induise "une cannibalisation des audiences", assure Fabrice Bailly. En "test permanent", TF1 diffusera ainsi les séries "Ghosts" et "Bref.2" plusieurs mois après leur arrivée sur Disney+. Le groupe, qui comprend aussi les chaînes LCI, TMC, TFX, TF1 Séries films, a récemment créé la surprise en annonçant un partenariat inédit avec Netflix, qui proposera l'ensemble de ses contenus à partir de l'été prochain. Une "stratégie d'hyper-distribution essentielle face à la fragmentation des usages", assure M. Bailly. Outre la fiction, le groupe mise également sur ses programmes de divertissements, avec des nouveautés comme le jeu "Bataille navale", présentée par Arthur, ou "The box", dont les candidats, enfermés dans des containers jaunes, découvriront les règles en même temps que les téléspectateurs. A noter également, le retour de l'émission "Stars à domicile" pour deux numéros présentés par la journaliste Isabelle Ithurburu, nouveau joker du 13H. Côté sport, TF1 ne pourra pas compter sur le Mondial de football 2026, dont les droits ont été raflés par M6, ni sur le tournoi des Six Nations de rugby, conservé par France Télévisions. Le groupe proposera toutefois les matchs amicaux et les qualifications des Bleus en football et la tournée d'automne du XV de France, après la Coupe du monde féminine de rugby (22 août-27 septembre) et les matches des Bleus à l'Eurobasket (27 août-14 septembre).

01.07.2025 à 22:21

Macron et Poutine divisés sur l'Ukraine, prêts à coopérer sur l'Iran

FRANCE24
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Cet échange était destiné en premier lieu à faire le point sur l'Iran - Paris et Moscou étant cosignataires de l'accord de Vienne de 2015 sur le nucléaire iranien - mais a aussi en partie porté sur l'Ukraine. Emmanuel Macron a souligné "le soutien indéfectible de la France à la souveraineté et à l'intégrité territoriale de l'Ukraine", a insisté l'Elysée, alors que la Russie occupe près de 20% de ce pays. Il a appelé à "l'établissement, dans les meilleurs délais, d'un cessez-le-feu et au lancement de négociations entre l'Ukraine et la Russie pour un règlement solide et durable du conflit", a poursuivi l'Elysée. Ces dernières semaines, les frappes russes contre l'Ukraine ont augmenté. L'Ukraine a de son côté mené mardi une nouvelle attaque en profondeur en Russie, à 1.000 kilomètres de son territoire, contre une usine fabriquant "des systèmes de défense antiaériens" et "des drones" à Ijevsk. Le président russe a prévenu son homologue français que tout accord de paix en Ukraine devait être "global et sur le long terme, prévoir l'élimination des causes profondes de la crise ukrainienne et s'appuyer sur de nouvelles réalités territoriales", a de son côté souligné le Kremlin, qui entend annexer les provinces conquises. Pour Vladimir Poutine, le conflit ukrainien est "une conséquence directe de la politique des Etats occidentaux", qui ont "ignoré les intérêts sécuritaires de la Russie depuis des années" et créé une "tête de pont anti-russe en Ukraine". "Rien à discuter" Malgré leurs positions très éloignées, les deux dirigeants, qui se sont entretenus durant "plus de deux heures au téléphone", ont convenu de continuer "d'échanger" sur le conflit en Ukraine, a précisé l'Elysée. Le dernier échange entre les deux dirigeants remonte au 11 septembre 2022 et portait sur la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les Russes et dont la sécurité était alors menacée. Le président français, qui s'était vu reprocher de continuer à parler au maître du Kremlin pendant des mois après le début de l'offensive russe en Ukraine, en février 2022, a ensuite cessé tout contact, accusant Vladimir Poutine de "mentir" sur ses intentions et sa volonté de paix. Il a donc pris le risque de renouer avec lui, dans la foulée de Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, d'abord pour parler d'Iran mais sans omettre de rappeler ses exigences sur l'Ukraine, souligne-t-on à Paris. Pour l'analyste russe Tatiana Stanovaya, cet appel "ne veut pas dire que l'Ukraine va perdre tout soutien". "Il montre plutôt la volonté des Européens d'avoir une place à la table" des négociations, même s'il "n'y a rien à discuter" pour l'instant du fait de l'intransigeance russe, a-t-elle déclaré à l'AFP. Concernant le nucléaire iranien, les deux dirigeants ont "décidé de coordonner leurs démarches et de se parler prochainement afin de faire le suivi ensemble" du dossier, selon l'Elysée. La diplomatie d'abord Malgré les dommages subis par ses installations nucléaires, Téhéran dispose des capacités techniques pour recommencer à enrichir de l'uranium d'ici "quelques mois", estime le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi. A cet égard, MM. Poutine et Macron ont martelé que les crises au Moyen-Orient devaient être résolues "par la diplomatie", a renchéri la présidence russe. Emmanuel Macron a insisté sur la nécessité d'un "règlement durable et exigeant du dossier nucléaire, de la question des missiles de l'Iran et de son rôle dans la région", a poursuivi l'Elysée. Outre son programme nucléaire, soupçonné par les Occidentaux de visées militaires, Téhéran a développé un ambitieux programme balistique et exercé une forte influence régionale, de la Syrie au Yémen, aujourd'hui sérieusement mise à mal par les opérations israéliennes contre ses allié du Hezbollah au Liban et du Hamas à Gaza, ainsi que contre ses propres installations militaires. Le président français a demandé que les inspecteurs puissent "reprendre leur travail sans délai" en Iran, alors que Téhéran menace de rompre avec l'AIEA. Vladimir Poutine a de son côté insisté sur le fait que l'Iran avait "le droit" de développer un programme "nucléaire civil", a précisé le Kremlin. Le président français avait annoncé jeudi son intention de parler "dans les prochains jours" avec chacun des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU pour faire en sorte que l'Iran respecte le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP). Outre la France et la Russie, les autres membres permanents sont les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la Chine.

01.07.2025 à 22:15

Explosion dans une usine chimique en Inde: le bilan monte à 36 morts

FRANCE24
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"Les opérations de recherche se poursuivent", a déclaré devant la presse le "ministre en chef" de l'Etat, Revanth Reddy, confirmant que 36 morts avaient déjà été retiré des décombres du site. Un précédent bilan faisait état de 35 morts. "Nous craignons que d'autres personnes se trouvent encore sous les débris", a ajouté M. Reddy à l'issue d'une visite de l'usine, dans le district de Sangareddy. Selon le "ministre en chef", un total de 143 personnes se trouvaient dans l'usine du groupe pharmaceutique Sigachi Industries au moment de la déflagration. L'entreprise a précisé que le site, où elle fabrique une substance utilisée comme liant dans les médicaments ou les suppléments vitaminés, avait souffert d'importants dommages et que le travail y avait été suspendu pour au moins 90 jours. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'explosion. Les accidents industriels sont fréquents en Inde, où de nombreuses entreprises ne respectent pas les normes de sécurité en vigueur.

01.07.2025 à 22:05

Nul en maths ? La neurostimulation peut vous aider, affirme une étude

FRANCE24
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Alors que les disparités de maîtrise des mathématiques sont bien connues et contribuent au creusement des inégalités sociales, une étude publiée dans la revue américaine PLOS Biology met en exergue un potentiel moyen de les corriger. "Les gens ont des cerveaux différents, et leurs cerveaux contrôlent une grande partie de leur vie", insiste auprès de l'AFP Roi Cohen Kadosh, spécialiste en neurobiologie et sciences cognitives à l'université britannique de Surrey et principal auteur de l'étude. "Nous pensons tout le temps à l'environnement. Nous nous demandons souvent si nous allons à la bonne école, si nous avons le bon professeur. Mais c'est aussi notre biologie. Certaines personnes ont des difficultés et si nous pouvons aider leur cerveau à atteindre son plein potentiel, alors nous leur ouvrirons de nombreuses portes qui leur seraient autrement fermées", abonde-t-il. Stimulation électrique De précédentes études avaient montré l'implication de certaines activités neuronales et zones cérébrales, dont les cortex préfrontal dorsolatéral et pariétal postérieur, dans les processus d'acquisition de connaissances et d'apprentissage. Les chercheurs ont donc décidé d'étudier l'activité de ces deux zones, impliquées notamment dans la résolution de problèmes et la mémoire, chez des étudiants aux différents niveaux en mathématiques. Après avoir découvert qu'ils pouvaient prédire sur cette base leurs performances en calcul mental, ils ont donc cherché à les améliorer via une technologie prometteuse dite de stimulation transcrânienne par bruit aléatoire (tRNS). Autrement dit: des électrodes placées sur le pourtour de la tête et émettant des stimulations électriques indolores. Leur expérimentation, à laquelle ont pris part plus de 70 étudiants, a mis en évidence une amélioration de 25 à 29% des performances chez les étudiants les moins bons, explique le professeur Cohen Kadosh. "Il n'a pas été possible d'améliorer ceux qui étaient vraiment forts, mais ceux qui étaient dans la moyenne ou au-dessus de la moyenne, donc pas extrêmement bons en maths, nous avons pu améliorer leurs capacités", résume-t-il. Coup de pouce Des résultats très encourageants qu'il espère désormais confirmer par de futurs tests sur d'autres publics et étendre à d'autres champs éducatifs, comme celui de l'apprentissage d'une langue étrangère. Avec pour objectif à terme que des appareils de neurostimulation puissent être proposés aux publics rencontrant des difficultés d'apprentissage. "L'objectif n'est pas de créer quelque chose que les gens doivent utiliser toute leur vie", précise Roi Cohen Kadosh. Mais plutôt de proposer un coup de pouce. "Et à partir de là, ils pourront progresser par eux-mêmes". Toutefois, il faudra pour ce faire que ces dispositifs soient accessibles à tous, sous peine de ne faire que renforcer les inégalités socio-économiques, avertit le chercheur. Les mathématiques jouent en effet un rôle sociétal et économique important, et le niveau actuel des jeunes n'est pas au rendez-vous. Selon une étude de l'OCDE datant de 2016, environ un quart des adultes vivant dans des pays développés comme les Etats-Unis, la France et l'Allemagne ont un niveau de mathématiques équivalent ou inférieur à celui attendu chez les enfants de 6 et 7 ans. Et la France fait figure de plus mauvaise élève à l'échelle du continent européen.

01.07.2025 à 21:50

Le trafic aérien très perturbé jeudi en France en raison d'une grève des contrôleurs

FRANCE 24
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La Direction générale de l'aviation civile a demandé, mardi, aux compagnies aériennes de renoncer à un quart de leurs vols au départ ou à l'arrivée des grands aéroports parisiens, jeudi, au premier jour d'une grève de contrôleurs aériens. 
Texte intégral (559 mots)
La Direction générale de l'aviation civile a demandé, mardi, aux compagnies aériennes de renoncer à un quart de leurs vols au départ ou à l'arrivée des grands aéroports parisiens, jeudi, au premier jour d'une grève de contrôleurs aériens. 

01.07.2025 à 21:18

Cisjordanie : à Masafer Yatta, le harcèlement continu des colons israéliens

Les Observateurs
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Dans la nuit du 24 au 25 juin, une maison palestinienne a été complètement détruite dans un incendie. La population locale accuse les colons israéliens de la colonie voisine, construite sur le site de l’ancien village palestinien de Susya.
Texte intégral (559 mots)
Dans la nuit du 24 au 25 juin, une maison palestinienne a été complètement détruite dans un incendie. La population locale accuse les colons israéliens de la colonie voisine, construite sur le site de l’ancien village palestinien de Susya.

01.07.2025 à 20:29

Retraites : sans surprise, François Bayrou survit à la motion de censure socialiste

FRANCE24
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Texte intégral (559 mots)

01.07.2025 à 20:25

Rinderknech éteint Zverev, Monfils fauche Humbert: la journée des Français à Wimbledon

FRANCE24
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Au deuxième tour, il y aura sept Français sur la ligne de départ et deux Françaises en comptant Elsa Jacquemot (113e), qualifiée aux dépens de Magda Linette. Rinderknech bat son premier top 5 Vainqueur en cinq sets de Zverev, Rinderknech (72e) s'est offert à 29 ans la première victoire de sa carrière contre un membre du top 5. Interrompu à un set partout lundi soir, le match a fini par basculer mardi en faveur du Français, déjà passé à deux points de l'emporter dans le tie-break du quatrième set. Vainqueur 7-6 (7/3), 6-7 (8/10), 6-3, 6-7 (5/7), 6-4 après 4h40 de bagarre, il affrontera le Chilien Cristian Garin (110e) pour tenter de se hisser au troisième tour de Wimbledon pour la première fois. "Mes jambes en tremblent encore, je n'ai dormi que six heures la nuit dernière", a réagi le gagnant, ému, dans son interview d'après-match. Mpetshi frustré par Fritz Il est aussi passé à deux points de sa première victoire contre un membre du top 10, mais lui a fini par s'incliner mardi: Mpetshi Perricard (36e mondial) a été battu en cinq sets par Fritz au terme d'un match également disputé sur deux jours. Un an après s'être hissé en huitièmes de finale, son meilleur résultat en Grand Chelem, le serveur d'élite de 21 ans s'est incliné 6-7 (6/8), 6-7 (8/10), 6-4, 7-6 (8/6), 6-4, achevant une partie encourageante sur un jeu de service perdu sans inscrire le moindre point. Le match "s'est joué sur des détails (...) c'est frustrant. Il y a eu des coups gagnants, du déchet, ça fait partie de mon jeu", a-t-il réagi. Monfils triomphe à l'usure L'affiche 100% tricolore du premier tour a été remportée par l'inusable Gaël Monfils, 48e mondial venu à bout de son compatriote Ugo Humbert en cinq sets. Vainqueur 6-4, 3-6, 6-7 (5/7), 7-5, 6-2, le Parisien de bientôt 39 ans est devenu le Français le plus âgé de l'histoire à se hisser au deuxième tour de Wimbledon, où il affrontera le Hongrois Marton Fucsovics (105e). "Il y a eu des hauts et des bas, mais une victoire est une victoire", s'est réjoui "la Monf" face aux médias. "C'est sa surface préférée, et celle que j'aime le moins, donc pour moi c'est que du bonus !". Son adversaire, mieux classé (18e) et plus jeune (27 ans), est apparu manifestement abattu. "Il nous a encore fait une Gaël", a-t-il glissé, en référence aux victoires marathon qui font la signature de son aîné. Cazaux endurant, Moutet convaincant Présent pour la deuxième fois de sa carrière dans le tableau final de Wimbledon, Arthur Cazaux (115e) a déjà égalé mardi sa performance de 2024 en se hissant au deuxième tour. Le Montpelliérain de 22 ans a fini par faire craquer l'Australien Adam Walton (90e), dominé 6-3, 7-6 (8/6), 4-6, 6-7 (5/7), 6-1 en près de 4h15 sur le court N.6 inondé de soleil. Révélé par son accession aux huitièmes de finales de l'Open d'Australie en 2024, c'est justement un joueur "aussie" que Cazaux s'apprête à affronter pour une place au troisième tour, en la personne du 11e mondial Alex De Minaur, quart-de-finaliste sortant à Wimbledon. Sur le même court N.6, le 46e mondial Quentin Halys n'a pas connu le même bonheur face au qualifié danois August Holmgren (192e). Hugo Gaston (86e) a également mordu la poussière au premier tour, même s'il est parvenu à arracher une manche au Tchèque Jakub Mensik, 17e mondial et quinzième tête de série. Sur le court N.11, le récent finaliste du tournoi sur gazon de Majorque Corentin Moutet (69e) a parfaitement enchaîné à Wimbledon en écartant en trois sets l'Argentin Francisco Comesana (65e) pour entamer le tournoi. Il n'y a pas eu de miracle, en revanche, pour Alexandre Müller face à Novak Djokovic, septuble vainqueur de Wimbledon à qui il a pris un set cependant (6-1, 6-7 (7/9), 6-2, 6-2).
Texte intégral (670 mots)
Au deuxième tour, il y aura sept Français sur la ligne de départ et deux Françaises en comptant Elsa Jacquemot (113e), qualifiée aux dépens de Magda Linette. Rinderknech bat son premier top 5 Vainqueur en cinq sets de Zverev, Rinderknech (72e) s'est offert à 29 ans la première victoire de sa carrière contre un membre du top 5. Interrompu à un set partout lundi soir, le match a fini par basculer mardi en faveur du Français, déjà passé à deux points de l'emporter dans le tie-break du quatrième set. Vainqueur 7-6 (7/3), 6-7 (8/10), 6-3, 6-7 (5/7), 6-4 après 4h40 de bagarre, il affrontera le Chilien Cristian Garin (110e) pour tenter de se hisser au troisième tour de Wimbledon pour la première fois. "Mes jambes en tremblent encore, je n'ai dormi que six heures la nuit dernière", a réagi le gagnant, ému, dans son interview d'après-match. Mpetshi frustré par Fritz Il est aussi passé à deux points de sa première victoire contre un membre du top 10, mais lui a fini par s'incliner mardi: Mpetshi Perricard (36e mondial) a été battu en cinq sets par Fritz au terme d'un match également disputé sur deux jours. Un an après s'être hissé en huitièmes de finale, son meilleur résultat en Grand Chelem, le serveur d'élite de 21 ans s'est incliné 6-7 (6/8), 6-7 (8/10), 6-4, 7-6 (8/6), 6-4, achevant une partie encourageante sur un jeu de service perdu sans inscrire le moindre point. Le match "s'est joué sur des détails (...) c'est frustrant. Il y a eu des coups gagnants, du déchet, ça fait partie de mon jeu", a-t-il réagi. Monfils triomphe à l'usure L'affiche 100% tricolore du premier tour a été remportée par l'inusable Gaël Monfils, 48e mondial venu à bout de son compatriote Ugo Humbert en cinq sets. Vainqueur 6-4, 3-6, 6-7 (5/7), 7-5, 6-2, le Parisien de bientôt 39 ans est devenu le Français le plus âgé de l'histoire à se hisser au deuxième tour de Wimbledon, où il affrontera le Hongrois Marton Fucsovics (105e). "Il y a eu des hauts et des bas, mais une victoire est une victoire", s'est réjoui "la Monf" face aux médias. "C'est sa surface préférée, et celle que j'aime le moins, donc pour moi c'est que du bonus !". Son adversaire, mieux classé (18e) et plus jeune (27 ans), est apparu manifestement abattu. "Il nous a encore fait une Gaël", a-t-il glissé, en référence aux victoires marathon qui font la signature de son aîné. Cazaux endurant, Moutet convaincant Présent pour la deuxième fois de sa carrière dans le tableau final de Wimbledon, Arthur Cazaux (115e) a déjà égalé mardi sa performance de 2024 en se hissant au deuxième tour. Le Montpelliérain de 22 ans a fini par faire craquer l'Australien Adam Walton (90e), dominé 6-3, 7-6 (8/6), 4-6, 6-7 (5/7), 6-1 en près de 4h15 sur le court N.6 inondé de soleil. Révélé par son accession aux huitièmes de finales de l'Open d'Australie en 2024, c'est justement un joueur "aussie" que Cazaux s'apprête à affronter pour une place au troisième tour, en la personne du 11e mondial Alex De Minaur, quart-de-finaliste sortant à Wimbledon. Sur le même court N.6, le 46e mondial Quentin Halys n'a pas connu le même bonheur face au qualifié danois August Holmgren (192e). Hugo Gaston (86e) a également mordu la poussière au premier tour, même s'il est parvenu à arracher une manche au Tchèque Jakub Mensik, 17e mondial et quinzième tête de série. Sur le court N.11, le récent finaliste du tournoi sur gazon de Majorque Corentin Moutet (69e) a parfaitement enchaîné à Wimbledon en écartant en trois sets l'Argentin Francisco Comesana (65e) pour entamer le tournoi. Il n'y a pas eu de miracle, en revanche, pour Alexandre Müller face à Novak Djokovic, septuble vainqueur de Wimbledon à qui il a pris un set cependant (6-1, 6-7 (7/9), 6-2, 6-2).
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