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21.08.2025 à 11:55

Japon : une boule de feu fend le ciel

FRANCE24
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Une boule de lumière extrêmement brillante a fendu le ciel, dans l'ouest du Japon, mardi soir. Toshihisa Maeda, directeur du musée spatial de Sendai, a déclaré qu'il s'agissait d'une boule de feu, un météore exceptionnellement brillant. Il semble s'être abîmé dans le Pacifique, a-t-il précisé.
Une boule de lumière extrêmement brillante a fendu le ciel, dans l'ouest du Japon, mardi soir. Toshihisa Maeda, directeur du musée spatial de Sendai, a déclaré qu'il s'agissait d'une boule de feu, un météore exceptionnellement brillant. Il semble s'être abîmé dans le Pacifique, a-t-il précisé.

21.08.2025 à 11:53

Greg Zlap: "Johnny voyait l'harmonica comme une voix"

FRANCE24
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"Le blues, c'est une musique qui est libre, parce qu'elle est improvisée, et c'est ce qui se passait sur scène avec Johnny pour moi", sourit Greg Zlap, les yeux pétillants quand remontent les souvenirs d'une décennie de concerts avec la star. Le plus saillant d'entre eux est sans nul doute son solo enfiévré sur "Gabrielle". Johnny s'en délectait, le public en redemandait: Zlap avait réussi à faire de son instrument d'une dizaine de centimètres une voix à part entière. "Je n'ai pas eu peur d'aborder le répertoire de Johnny avec un œil frais, puisque je l'avais toujours eu", glisse le musicien quinquagénaire, né en Pologne. Au-delà du côté rockstar, "Johnny avait la culture blues", une "passion commune", narre-t-il. "Le blues, ça veut dire que je t'aime/Et que j'ai mal à en crever (...) Toute la musique que j'aime / Elle vient de là, elle vient du blues", chantait Hallyday en 1973, dans "La musique que j'aime". Dans son album hommage sorti vendredi, Greg Zlap place son harmonica au premier plan pour des reprises adaptées librement de tubes comme "Quelque chose de Tennessee", "Requiem pour un fou" ou "Je te promets". "Freestyle" L'originalité du disque réside surtout dans des duos avec sept artistes, dont le guitariste Fred Chapellier sur "Gabrielle", le musicien et chanteur de blues Ian Siegal sur une reprise en anglais d'"Allumer le feu", mais aussi Thomas Dutronc, le rappeur MC Solaar ou Norbert Krief, guitariste du groupe rock Trust. "J'étais dans une salle, j'ai vu Greg. Je suis monté sur la scène et on s'est mis à faire du freestyle, du blues, de l'improvisation, balancer des mots", raconte MC Solaar à propos de sa rencontre avec l'harmoniciste. Le freestyle est "un terme qui, à l'origine, vient du blues, du jazz, et puis est arrivé dans le rap", rappelle celui qui a fait partie des pionniers du rap français ("Caroline") dans les années 1990, soulignant combien cette musique permet de rencontrer "l'inconnu". Cet état d'esprit a permis de ne pas coller à l’œuvre du Taulier. L'album collectif "On a tous quelque chose de Johnny", avec entre autres Amel Bent, Benjamin Biolay et Kendji Girac, s'était attaqué à ce monument de la chanson française en novembre 2017, quelques semaines avant le décès de la star, qui avait ému le pays entier. "Je voulais absolument qu'on puisse se détacher, qu'on puisse construire sur les chansons de Johnny et non pas l'imiter", souligne Greg Zlap. "Tu m'as donné quelques éléments que j'ai mis dans ma machine à laver, dans mon cerveau, l'élément de liberté, de ce qui se passe dans le monde d'aujourd'hui. C'était des impressions", reconnaît MC Solaar. Le résultat donne "Le Ranchero", qui reprend "Le Pénitencier" mais avec des paroles à l'opposé de l'univers carcéral de la célèbre chanson. "Johnny, c'est que de l'amour. On a tous une chanson à lui. Ses interprétations ont toujours été extrêmement positives", loue le rappeur. Sur scène, "Johnny était toujours imprévisible. Il faisait les choses en fonction du public, ce n'était pas un show millimétré", explique aussi Greg Zlap. Pour recréer cette énergie du live, l'album a été enregistré dans des conditions similaires: "Basse, batterie, guitare dans la même pièce et zéro droit à l'erreur, c'est-à-dire que si jamais il y avait une plantade quelque part, on recommençait", illustre l'harmoniciste. Ses concerts, au Casino de Paris le 8 décembre puis en tournée, promettent eux aussi de laisser place à l'improvisation, ponctuée d'invités surprises.
Texte intégral (604 mots)
"Le blues, c'est une musique qui est libre, parce qu'elle est improvisée, et c'est ce qui se passait sur scène avec Johnny pour moi", sourit Greg Zlap, les yeux pétillants quand remontent les souvenirs d'une décennie de concerts avec la star. Le plus saillant d'entre eux est sans nul doute son solo enfiévré sur "Gabrielle". Johnny s'en délectait, le public en redemandait: Zlap avait réussi à faire de son instrument d'une dizaine de centimètres une voix à part entière. "Je n'ai pas eu peur d'aborder le répertoire de Johnny avec un œil frais, puisque je l'avais toujours eu", glisse le musicien quinquagénaire, né en Pologne. Au-delà du côté rockstar, "Johnny avait la culture blues", une "passion commune", narre-t-il. "Le blues, ça veut dire que je t'aime/Et que j'ai mal à en crever (...) Toute la musique que j'aime / Elle vient de là, elle vient du blues", chantait Hallyday en 1973, dans "La musique que j'aime". Dans son album hommage sorti vendredi, Greg Zlap place son harmonica au premier plan pour des reprises adaptées librement de tubes comme "Quelque chose de Tennessee", "Requiem pour un fou" ou "Je te promets". "Freestyle" L'originalité du disque réside surtout dans des duos avec sept artistes, dont le guitariste Fred Chapellier sur "Gabrielle", le musicien et chanteur de blues Ian Siegal sur une reprise en anglais d'"Allumer le feu", mais aussi Thomas Dutronc, le rappeur MC Solaar ou Norbert Krief, guitariste du groupe rock Trust. "J'étais dans une salle, j'ai vu Greg. Je suis monté sur la scène et on s'est mis à faire du freestyle, du blues, de l'improvisation, balancer des mots", raconte MC Solaar à propos de sa rencontre avec l'harmoniciste. Le freestyle est "un terme qui, à l'origine, vient du blues, du jazz, et puis est arrivé dans le rap", rappelle celui qui a fait partie des pionniers du rap français ("Caroline") dans les années 1990, soulignant combien cette musique permet de rencontrer "l'inconnu". Cet état d'esprit a permis de ne pas coller à l’œuvre du Taulier. L'album collectif "On a tous quelque chose de Johnny", avec entre autres Amel Bent, Benjamin Biolay et Kendji Girac, s'était attaqué à ce monument de la chanson française en novembre 2017, quelques semaines avant le décès de la star, qui avait ému le pays entier. "Je voulais absolument qu'on puisse se détacher, qu'on puisse construire sur les chansons de Johnny et non pas l'imiter", souligne Greg Zlap. "Tu m'as donné quelques éléments que j'ai mis dans ma machine à laver, dans mon cerveau, l'élément de liberté, de ce qui se passe dans le monde d'aujourd'hui. C'était des impressions", reconnaît MC Solaar. Le résultat donne "Le Ranchero", qui reprend "Le Pénitencier" mais avec des paroles à l'opposé de l'univers carcéral de la célèbre chanson. "Johnny, c'est que de l'amour. On a tous une chanson à lui. Ses interprétations ont toujours été extrêmement positives", loue le rappeur. Sur scène, "Johnny était toujours imprévisible. Il faisait les choses en fonction du public, ce n'était pas un show millimétré", explique aussi Greg Zlap. Pour recréer cette énergie du live, l'album a été enregistré dans des conditions similaires: "Basse, batterie, guitare dans la même pièce et zéro droit à l'erreur, c'est-à-dire que si jamais il y avait une plantade quelque part, on recommençait", illustre l'harmoniciste. Ses concerts, au Casino de Paris le 8 décembre puis en tournée, promettent eux aussi de laisser place à l'improvisation, ponctuée d'invités surprises.

21.08.2025 à 11:33

"JP", streamer à succès vivant sa "meilleure vie" ou gars "trop gentil manipulé" ?

FRANCE24
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Dans son quartier de la Condamine à Drap (Alpes-Maritimes), Raphaël Graven, alias Jean Pormanove ou JP, laisse le souvenir d'"une personne très appréciée" qui avait trouvé dans cette cité populaire tranquille de 1.500 habitants une qualité de vie jamais connue dans sa Moselle natale. "Il vivait ici sa meilleure vie: on allait manger avec lui, on faisait du bateau, on allait à la plage", assure, sous couvert d'anonymat, un proche de l'influenceur Owen Cenazandotti, alias NarutoVie, enfant du quartier qui l'avait convaincu de s'y installer après avoir découvert ses vidéos de gaming sur Youtube. Avant, "JP vivait chez sa mère, n'avait pas de voiture et n'était jamais allé au resto!", affirme ce proche. Selon lui, l'homme de 46 ans vivait seul dans un petit appartement que lui avait trouvé Owen Cenazandotti dans cette cité champêtre de petits immeubles, à quelques kilomètres de Nice. "Owen lui avait acheté une voiture, une Clio, il y a quatre mois, et l'an dernier, ils étaient allés en Turquie pour une greffe de cheveux", assure ce proche, mais l'intervention aurait dû être abandonnée, en raison d'une faiblesse cardiaque détectée par les médecins turcs. "Il mangeait mal, surtout des bonbons, buvait tout le temps du Coca ou du Red Bull, et fumait énormément", dit un jeune du quartier, qui préfère lui aussi ne pas être nommé. Ici, on ne comprend pas "la polémique" autour des vidéos où les "défis" se résumaient essentiellement à des scènes d'humiliations ou violences infligées à Jean Pormanove et un autre souffre-douleur, Coudoux. "C'était comme du théâtre, juste pour buzzer. Jamais personne ne lui aurait fait de mal", dit un autre jeune du quartier. Argument avancé par Raphaël Graven lui-même en janvier, lorsqu'il avait été entendu par la police niçoise dans une enquête ouverte notamment pour "violences volontaires sur personnes vulnérables", après un article de Mediapart sur ces vidéos, suivies par des milliers de personnes, principalement sur la plateforme australienne de diffusion en direct Kick. "Pas le niveau" Ancien militaire de carrière, Nicolas Frérot a côtoyé Raphaël Graven plusieurs années sur la base aérienne 128 de Metz-Frescaty, où il était affecté à l'entretien. Né en 1979 dans un milieu modeste, "il est rentré un petit peu par hasard à l'armée", raconte M. Frérot. "Il était appelé quand le service militaire a été supprimé, et quand l'armée lui a proposé de rester, il a sauté sur l'opportunité. Sauf qu'au bout de quelques années, il a été obligé de passer des tests. Mais il n'avait pas le niveau, et il a dû partir", dit-il au téléphone à l'AFP. Nicolas Frérot se souvient de "quelqu'un de très gentil", "un bon gars", "le coeur sur la main" mais "pas très intelligent". "C'était quelqu'un de crédule, vous auriez pu lui faire croire qu'un arbre était bleu. Il était très influençable". Déjà, il était "un peu harcelé". "Très maigre" et "fragile physiquement", certains l'appelaient "le cadavre". Après l'armée, Raphaël Graven se fait embaucher "dans un abattoir à Metz, mais il s'est fait virer pour des questions d'hygiène". Sur le groupe Facebook de la base aérienne 128 (fermée en 2012), où la mère de Jean Pormanove, Joëlle Graven Feknous, a annoncé son décès lundi, d'anciens compagnons d'armes se souviennent d'"un gentil gars". "Le coeur sur la main et toujours volontaire", dit l'un. "Une personne très agréable et simple", écrit un autre. Après son départ de l'armée, "je suis allé chez lui une fois. Il avait un problème informatique avec son ordinateur, il n'y connaissait rien", raconte encore Nicolas Frérot. C'est pourtant grâce à internet que Raphaël Graven acquiert la notoriété, d'abord dans le gaming, où ses accès de colère sur des jeux vidéo comme "Fortnite" ou "FIFA" lui valent ses premiers fans. Après avoir rejoint NarutoVie et un autre influenceur niçois, Sofiane Hamadi alias Safine, leur collectif "Le Lokal" commence à diffuser, d'abord sur Youtube, puis Tiktok et enfin Kick, des vidéos de plus en plus dégradantes. Quand Nicolas Frérot les découvre, il commence par laisser des commentaires. "Je lui disais: +mais putain, Graven, pars de là, reste pas avec tes connards, quoi+". "Ils ont clairement profité de lui parce que c'était quelqu'un de crédule. C'était facile de le manipuler", accuse Nicolas Frérot. "La dernière fois que j'ai échangé avec lui c'était en janvier. Il m'avait dit +t'inquiète, tout va bien dans ma vie+".
Texte intégral (793 mots)
Dans son quartier de la Condamine à Drap (Alpes-Maritimes), Raphaël Graven, alias Jean Pormanove ou JP, laisse le souvenir d'"une personne très appréciée" qui avait trouvé dans cette cité populaire tranquille de 1.500 habitants une qualité de vie jamais connue dans sa Moselle natale. "Il vivait ici sa meilleure vie: on allait manger avec lui, on faisait du bateau, on allait à la plage", assure, sous couvert d'anonymat, un proche de l'influenceur Owen Cenazandotti, alias NarutoVie, enfant du quartier qui l'avait convaincu de s'y installer après avoir découvert ses vidéos de gaming sur Youtube. Avant, "JP vivait chez sa mère, n'avait pas de voiture et n'était jamais allé au resto!", affirme ce proche. Selon lui, l'homme de 46 ans vivait seul dans un petit appartement que lui avait trouvé Owen Cenazandotti dans cette cité champêtre de petits immeubles, à quelques kilomètres de Nice. "Owen lui avait acheté une voiture, une Clio, il y a quatre mois, et l'an dernier, ils étaient allés en Turquie pour une greffe de cheveux", assure ce proche, mais l'intervention aurait dû être abandonnée, en raison d'une faiblesse cardiaque détectée par les médecins turcs. "Il mangeait mal, surtout des bonbons, buvait tout le temps du Coca ou du Red Bull, et fumait énormément", dit un jeune du quartier, qui préfère lui aussi ne pas être nommé. Ici, on ne comprend pas "la polémique" autour des vidéos où les "défis" se résumaient essentiellement à des scènes d'humiliations ou violences infligées à Jean Pormanove et un autre souffre-douleur, Coudoux. "C'était comme du théâtre, juste pour buzzer. Jamais personne ne lui aurait fait de mal", dit un autre jeune du quartier. Argument avancé par Raphaël Graven lui-même en janvier, lorsqu'il avait été entendu par la police niçoise dans une enquête ouverte notamment pour "violences volontaires sur personnes vulnérables", après un article de Mediapart sur ces vidéos, suivies par des milliers de personnes, principalement sur la plateforme australienne de diffusion en direct Kick. "Pas le niveau" Ancien militaire de carrière, Nicolas Frérot a côtoyé Raphaël Graven plusieurs années sur la base aérienne 128 de Metz-Frescaty, où il était affecté à l'entretien. Né en 1979 dans un milieu modeste, "il est rentré un petit peu par hasard à l'armée", raconte M. Frérot. "Il était appelé quand le service militaire a été supprimé, et quand l'armée lui a proposé de rester, il a sauté sur l'opportunité. Sauf qu'au bout de quelques années, il a été obligé de passer des tests. Mais il n'avait pas le niveau, et il a dû partir", dit-il au téléphone à l'AFP. Nicolas Frérot se souvient de "quelqu'un de très gentil", "un bon gars", "le coeur sur la main" mais "pas très intelligent". "C'était quelqu'un de crédule, vous auriez pu lui faire croire qu'un arbre était bleu. Il était très influençable". Déjà, il était "un peu harcelé". "Très maigre" et "fragile physiquement", certains l'appelaient "le cadavre". Après l'armée, Raphaël Graven se fait embaucher "dans un abattoir à Metz, mais il s'est fait virer pour des questions d'hygiène". Sur le groupe Facebook de la base aérienne 128 (fermée en 2012), où la mère de Jean Pormanove, Joëlle Graven Feknous, a annoncé son décès lundi, d'anciens compagnons d'armes se souviennent d'"un gentil gars". "Le coeur sur la main et toujours volontaire", dit l'un. "Une personne très agréable et simple", écrit un autre. Après son départ de l'armée, "je suis allé chez lui une fois. Il avait un problème informatique avec son ordinateur, il n'y connaissait rien", raconte encore Nicolas Frérot. C'est pourtant grâce à internet que Raphaël Graven acquiert la notoriété, d'abord dans le gaming, où ses accès de colère sur des jeux vidéo comme "Fortnite" ou "FIFA" lui valent ses premiers fans. Après avoir rejoint NarutoVie et un autre influenceur niçois, Sofiane Hamadi alias Safine, leur collectif "Le Lokal" commence à diffuser, d'abord sur Youtube, puis Tiktok et enfin Kick, des vidéos de plus en plus dégradantes. Quand Nicolas Frérot les découvre, il commence par laisser des commentaires. "Je lui disais: +mais putain, Graven, pars de là, reste pas avec tes connards, quoi+". "Ils ont clairement profité de lui parce que c'était quelqu'un de crédule. C'était facile de le manipuler", accuse Nicolas Frérot. "La dernière fois que j'ai échangé avec lui c'était en janvier. Il m'avait dit +t'inquiète, tout va bien dans ma vie+".
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