Intervenir au plus près des premières manifestations psychotiques chez les adolescents et les jeunes adultes réduit le risque qu’ils basculent dans une psychose durable. Or, l’offre de soins se révèle bien en dessous des besoins et des enjeux de santé publique.
Intervenir au plus près des premières manifestations psychotiques chez les adolescents et les jeunes adultes réduit le risque qu’ils basculent dans une psychose durable. Or, l’offre de soins se révèle bien en dessous des besoins et des enjeux de santé publique.