L’anesthésiste, qui continue de clamer son innocence, est jugé depuis trois mois à Besançon pour 30 empoisonnements – dont 12 mortels – entre 2008 et 2017.
Dans une tribune au « Monde », un collectif de 130 médecins et professionnels explique que les connaissances scientifiques sur le syndrome du bébé secoué (SBS) restent incomplètes. Ils appellent à éviter les certitudes excessives, parfois dommageables, et à s’en tenir à la rigueur de la démarche scientifique.