Après l’attaque qui a fait un mort dans un lycée nantais le 24 avril, la réponse ne peut pas être que répressive et sécuritaire, affirme le secrétaire national PS Yannick Trigance. Il est urgent de s’interroger sur l’origine et le traitement des causes de la violence sous l’angle de la santé mentale.
Après l’attaque qui a fait un mort dans un lycée nantais le 24 avril, la réponse ne peut pas être que répressive et sécuritaire, affirme le secrétaire national PS Yannick Trigance. Il est urgent de s’interroger sur l’origine et le traitement des causes de la violence sous l’angle de la santé mentale.